T'es beau tu sais, Milord - avec Georges Moustaki Songtext
von Édith Piaf
T'es beau tu sais, Milord - avec Georges Moustaki Songtext
En tout cas une chose que tu n′es pas, que tu n'es pas à apprendre c′est
C'est, c'est ton talent de, d′auteur et de compositeur
Parce que ça je, je dois dire que, que Georges Moustaki
Apporte quelque chose de, de trés nouveau dans, dans la chanson
Il vient d′écrire une chanson avec Marguerite Monnot
"Note à la paix", évidemment la musique
Il vient de créer une chanson avec Michel Rivegauche, l'auteur de, "la foule"
Dont, euh, Michel a fait les paroles et Georges cette fois-ci a fait la musique
Et puis, euh, il a créer, "le gîte à la ville" là il a fait musique et paroles
En fin d′état d'autres que je ne, euh, qui sera trop longasité
Mais, euh, il y a (la dernière)
C′est Henry Konté qui était surprit parce que je l'ai faites cette nuit
Du duvet, quatre heures du matin quand j′ai trouvé la, la note finale
Et c'est, c'était tellement enthusiaste que j′ai voulu le reveiller
Je m′attendais (tu l'a reveillé?)
Oui j′l'ai reveillé, j′ai même téléphoné (et qu'est-c′qu'il a dit?)
Il était tout endormi, il, il était, il était à son premier sommeil
Il s'est habillé et il m′attendais sur le pas d′sa porte
Puisque j'allais le chercher en voiture, j′l'ai ramené, je lui ai fait
Je l′ai joué ça pendant deux heures
C'est la chanson que tu vas jouer tout à l′heure? (Oui)
Ah, bien je commence à rire un petit peu là, c'est vrai
Où sont les paroles? Attend (les voilà)
Bien elles sont, elles sont sur le piano
T'es beau, tu sais
Et ça s′entend lorsque tu passes
T′es beau, c'est vrai
J′en suis plus belle quand tu m'embrasses
Je te desire du bout de doigt
Ton front, tes yeux, tes yeux, ta bouche
Comment veux-tu dessiner ça?
La main me tremble quand j′y touche
T'es beau, mon grand
Et moi, vois-tu, je suis si petite
T′es beau tout le temps
Et ça me grandit quand j'en profite
Il y a évidemment une chose que, qu'on a oublié de souligner
C′est que les paroles sont d′Henry Comté?
Mais, oui, c'est la raison pour laquelle je l′ai reveillé d'ailleurs, sincère (ah, bon?)
Toujours il était trés surprit (oui)
En tout cas, euh, je pense et j′espère te porter bonheur
Comme je crois avoir porté bonheur à Heny Comté, Michel Le Maire
Michel Rivegauche, Marguerite Mannot, Charles Aznavour, Raymond Asso
Je, j'espère vraiment de tout mon coeur que tu seras dans cette tête de fil trés bientôt
Mais, je suis trés fière que tu me met là, hein
Tout ces noms là, j′espère moi même en faire partie
Que, que d'histoire, hein? (Également)
Non, mais c'pas tout ça l′embarra, l′embarra est la repétition, hein
Bon, veux-tu, veux-tu te mettre au piano? Qu'est ce que tu veux?
Tanpis puisque, puisque j′ai pas mon piano (mieux, le mien)
Allez, on va donner un petit bout de, de "milord", hein (oui)
C'est toi qui part avant (c′est moi qui part avant?)
Oui (hein, vas comme ça, c'est plus sûr)
Allez, un, deux, trois
Allez, venez, Milord, vous asseoir à ma table
Il fait si froid dehors, ici c′est confortable
Laissez-vous faire, Milord et prenez bien vos aises
Vos peines sur mon cœur et vos pieds sur une chaise
Je vous connais, Milord, vous n'm'avez jamais vue
Je n′suis qu′une fille du port, une ombre de la rue
C'est, c'est ton talent de, d′auteur et de compositeur
Parce que ça je, je dois dire que, que Georges Moustaki
Apporte quelque chose de, de trés nouveau dans, dans la chanson
Il vient d′écrire une chanson avec Marguerite Monnot
"Note à la paix", évidemment la musique
Il vient de créer une chanson avec Michel Rivegauche, l'auteur de, "la foule"
Dont, euh, Michel a fait les paroles et Georges cette fois-ci a fait la musique
Et puis, euh, il a créer, "le gîte à la ville" là il a fait musique et paroles
En fin d′état d'autres que je ne, euh, qui sera trop longasité
Mais, euh, il y a (la dernière)
C′est Henry Konté qui était surprit parce que je l'ai faites cette nuit
Du duvet, quatre heures du matin quand j′ai trouvé la, la note finale
Et c'est, c'était tellement enthusiaste que j′ai voulu le reveiller
Je m′attendais (tu l'a reveillé?)
Oui j′l'ai reveillé, j′ai même téléphoné (et qu'est-c′qu'il a dit?)
Il était tout endormi, il, il était, il était à son premier sommeil
Il s'est habillé et il m′attendais sur le pas d′sa porte
Puisque j'allais le chercher en voiture, j′l'ai ramené, je lui ai fait
Je l′ai joué ça pendant deux heures
C'est la chanson que tu vas jouer tout à l′heure? (Oui)
Ah, bien je commence à rire un petit peu là, c'est vrai
Où sont les paroles? Attend (les voilà)
Bien elles sont, elles sont sur le piano
T'es beau, tu sais
Et ça s′entend lorsque tu passes
T′es beau, c'est vrai
J′en suis plus belle quand tu m'embrasses
Je te desire du bout de doigt
Ton front, tes yeux, tes yeux, ta bouche
Comment veux-tu dessiner ça?
La main me tremble quand j′y touche
T'es beau, mon grand
Et moi, vois-tu, je suis si petite
T′es beau tout le temps
Et ça me grandit quand j'en profite
Il y a évidemment une chose que, qu'on a oublié de souligner
C′est que les paroles sont d′Henry Comté?
Mais, oui, c'est la raison pour laquelle je l′ai reveillé d'ailleurs, sincère (ah, bon?)
Toujours il était trés surprit (oui)
En tout cas, euh, je pense et j′espère te porter bonheur
Comme je crois avoir porté bonheur à Heny Comté, Michel Le Maire
Michel Rivegauche, Marguerite Mannot, Charles Aznavour, Raymond Asso
Je, j'espère vraiment de tout mon coeur que tu seras dans cette tête de fil trés bientôt
Mais, je suis trés fière que tu me met là, hein
Tout ces noms là, j′espère moi même en faire partie
Que, que d'histoire, hein? (Également)
Non, mais c'pas tout ça l′embarra, l′embarra est la repétition, hein
Bon, veux-tu, veux-tu te mettre au piano? Qu'est ce que tu veux?
Tanpis puisque, puisque j′ai pas mon piano (mieux, le mien)
Allez, on va donner un petit bout de, de "milord", hein (oui)
C'est toi qui part avant (c′est moi qui part avant?)
Oui (hein, vas comme ça, c'est plus sûr)
Allez, un, deux, trois
Allez, venez, Milord, vous asseoir à ma table
Il fait si froid dehors, ici c′est confortable
Laissez-vous faire, Milord et prenez bien vos aises
Vos peines sur mon cœur et vos pieds sur une chaise
Je vous connais, Milord, vous n'm'avez jamais vue
Je n′suis qu′une fille du port, une ombre de la rue
Writer(s): Georges Moustaki, Marguerite Monnot Lyrics powered by www.musixmatch.com