Il y avait 1950 Songtext
von Édith Piaf
Il y avait 1950 Songtext
Il y avait un garçon qui vivait simplement travaillant dans le faubourg
Il y avait une fille qui rêvait sagement en attendant l′amour
Il y avait le printemps, le printemps des romans qui passait en chantant
Et cherchait deux cœurs troublants pour prêter ses serments et en faire des amants
Il y a eu un moment merveilleux lorsque leurs regards se sont unis
Il y a eu ces instants délicieux où, sans rien dire, ils se sont compris
Il y a eu le destin qui a poussé l'gamin à lui prendre la main
Il y a eu la chaleur, la chaleur du bonheur qui leur montait au cœur
Il y avait cette chambre meublée aux fenêtres donnants sur la cour
Il y avait ce couple qui s′aimait et leurs phrases parlaient de toujours
Il y avait le gamin qui promenait sa main dans les cheveux de lin
De la fille aux yeux rêveurs tandis que dans leurs cœurs s'installait le bonheur
Il y a eu ces deux corps éperdus, de bonheur, de joies sans pareils
Il y a eu tous les rêves perdus qui remplaçaient leurs nuits sans sommeil
Il y a eu le moment où, soudain, le printemps à repris ses serments
Il y a eu le bonheur qui s'est enfui en pleurs d′avoir brisé deux cœurs
Il y avait un garçon qui vivait simplement travaillant dans le faubourg
Il y avait une fille qui pleurait en songeant à son premier amour
Il y avait le destin qui marchait son chemin sans s′occuper de rien
Tant qu'il y aura des amants
Il y aura des serments qui n′dureront qu'un printemps
Il y avait une fille qui rêvait sagement en attendant l′amour
Il y avait le printemps, le printemps des romans qui passait en chantant
Et cherchait deux cœurs troublants pour prêter ses serments et en faire des amants
Il y a eu un moment merveilleux lorsque leurs regards se sont unis
Il y a eu ces instants délicieux où, sans rien dire, ils se sont compris
Il y a eu le destin qui a poussé l'gamin à lui prendre la main
Il y a eu la chaleur, la chaleur du bonheur qui leur montait au cœur
Il y avait cette chambre meublée aux fenêtres donnants sur la cour
Il y avait ce couple qui s′aimait et leurs phrases parlaient de toujours
Il y avait le gamin qui promenait sa main dans les cheveux de lin
De la fille aux yeux rêveurs tandis que dans leurs cœurs s'installait le bonheur
Il y a eu ces deux corps éperdus, de bonheur, de joies sans pareils
Il y a eu tous les rêves perdus qui remplaçaient leurs nuits sans sommeil
Il y a eu le moment où, soudain, le printemps à repris ses serments
Il y a eu le bonheur qui s'est enfui en pleurs d′avoir brisé deux cœurs
Il y avait un garçon qui vivait simplement travaillant dans le faubourg
Il y avait une fille qui pleurait en songeant à son premier amour
Il y avait le destin qui marchait son chemin sans s′occuper de rien
Tant qu'il y aura des amants
Il y aura des serments qui n′dureront qu'un printemps
Writer(s): Charles Aznaourian, Pierre Lu Roche Lyrics powered by www.musixmatch.com