Avec le soleil - Olympia 55 Songtext
von Édith Piaf
Avec le soleil - Olympia 55 Songtext
De Jacques Larue et Phillipe Gérard
Avec ce soleil
Avec ce soleil on avait envie
De ne pas parler, de boire de la vie
À petites goulées, sous le ciel superbe
Le long du talus, mâchant un brin d′herbe
Et jupe collée, elle regardait
D'un air triomphant ce jeune homme imberbe
Ou encore presqu′enfant qui la désirait
Il aurait fallu presque rien
Peut-être un geste de lui
Un sourire d'elle qui lui dise viens
Il aurait fallu presque rien
Peut-être qu'un oiseau s′enfuie
Avec un bruit dailes pour que tout soit bien
Pour que par-dessus le toit de lusine
Le long des murs gris
Pour que par-dessus la route voisine
Et ses pavés gris
Pour que par-dessus toutes les collines
Pour que par-dessus toutes les forêts
Pour que monte au ciel sans cloches et sans noces
Un amour de gosses qui purifierait
Mais c′était déjà deux enfants durcis
Qui ne croyaient plus n'avoir à se dire
Que les mots des grands
Que la vie déjà, broyait sans merci
Qui ne savaient plus ni rêver, ni rire
Coeur indifférent
Et ce jour encore, le long du talus
Les coquelicots avec les bleuets
En vain attendirent une main cruelle
Qui les cueillerait
Avec ce soleil
Avec ce soleil on avait envie
De ne pas parler, de boire de la vie
À petites goulées, sous le ciel superbe
Le long du talus, mâchant un brin d′herbe
Et jupe collée, elle regardait
D'un air triomphant ce jeune homme imberbe
Ou encore presqu′enfant qui la désirait
Il aurait fallu presque rien
Peut-être un geste de lui
Un sourire d'elle qui lui dise viens
Il aurait fallu presque rien
Peut-être qu'un oiseau s′enfuie
Avec un bruit dailes pour que tout soit bien
Pour que par-dessus le toit de lusine
Le long des murs gris
Pour que par-dessus la route voisine
Et ses pavés gris
Pour que par-dessus toutes les collines
Pour que par-dessus toutes les forêts
Pour que monte au ciel sans cloches et sans noces
Un amour de gosses qui purifierait
Mais c′était déjà deux enfants durcis
Qui ne croyaient plus n'avoir à se dire
Que les mots des grands
Que la vie déjà, broyait sans merci
Qui ne savaient plus ni rêver, ni rire
Coeur indifférent
Et ce jour encore, le long du talus
Les coquelicots avec les bleuets
En vain attendirent une main cruelle
Qui les cueillerait
Writer(s): Marcel Ageron, Philippe Gerard Lyrics powered by www.musixmatch.com