Salle D'Attente Songtext
von Édith Piaf
Salle D'Attente Songtext
L′un près de l'autre, ils étaient là
Tous deux assis, comme endormis
Au bord de la banquette en bois
Dans la salle d′attente
À travers la vitre, on voyait
Le vieux manège qui grinçait
Et sa musique tourbillonnait
Dans la salle d'attente
Et cette musique semblait pousser
La grande aiguille de la pendule
Avec un bruit démesuré
Démesuré et ridicule
Et cette pendule les obsédait
Cette pendule qui les regardait
Cette pendule qui tourbillonnait
Dans la salle d'attente
Et dans leur tête ça glissait
Manège, musique, pendule
La pendule devenait manège
Le manège devenait pendule
Et leurs souvenirs, en cortège
Remontaient, défilaient, s′envolaient
L′un près de l'autre ils étaient là
Tous deux assis, comme endormis
Au bord de la banquette en bois
Dans la salle d′attente
Et quand le train est arrivé
Tous deux, ils se sont regardés
Et sans un mot se sont levés
Dans la salle d'attente
Et dans leur tête, ça glissait
Présent, passé, manège
Les souvenirs devenaient présents
Le présent devenait souvenir
Et leurs paroles, en cortège
Hésitaient, se troublaient, s′envolaient
Quand dans le train, il est monté
C'est elle qui s′en est aperçue
Et en courant est revenue
Dans la salle d'attente
Mais le train avait disparu
Vous ne trouvez pas que c'est idiot
Une femme qui marche dans la rue
Avec une musette et un calot?
C′est idiot
C′est idiot
C'est idiot
Tous deux assis, comme endormis
Au bord de la banquette en bois
Dans la salle d′attente
À travers la vitre, on voyait
Le vieux manège qui grinçait
Et sa musique tourbillonnait
Dans la salle d'attente
Et cette musique semblait pousser
La grande aiguille de la pendule
Avec un bruit démesuré
Démesuré et ridicule
Et cette pendule les obsédait
Cette pendule qui les regardait
Cette pendule qui tourbillonnait
Dans la salle d'attente
Et dans leur tête ça glissait
Manège, musique, pendule
La pendule devenait manège
Le manège devenait pendule
Et leurs souvenirs, en cortège
Remontaient, défilaient, s′envolaient
L′un près de l'autre ils étaient là
Tous deux assis, comme endormis
Au bord de la banquette en bois
Dans la salle d′attente
Et quand le train est arrivé
Tous deux, ils se sont regardés
Et sans un mot se sont levés
Dans la salle d'attente
Et dans leur tête, ça glissait
Présent, passé, manège
Les souvenirs devenaient présents
Le présent devenait souvenir
Et leurs paroles, en cortège
Hésitaient, se troublaient, s′envolaient
Quand dans le train, il est monté
C'est elle qui s′en est aperçue
Et en courant est revenue
Dans la salle d'attente
Mais le train avait disparu
Vous ne trouvez pas que c'est idiot
Une femme qui marche dans la rue
Avec une musette et un calot?
C′est idiot
C′est idiot
C'est idiot
Writer(s): Margueritte Angele Monnot, Michel Rivgauche Lyrics powered by www.musixmatch.com