Quand‐même Songtext
von Édith Piaf
Quand‐même Songtext
Le bonheur quotidien
Vraiment ne me dit rien
La vertu n′est que faiblesse
Qui voit sa fin dans le ciel
Je préfère la promesse
Des paradis artificiels
Je sais qu'à la porte d′un bar
Où j'aurai bu jusqu'à l′extrême
On ramassera quelque part
Mon corps brûlé sur un brancard
Je bois quand même
Que sous la drogue lentement
D′extase en extase suprême
Je m'approche implacablement
Du sombre asile des déments
J′en prends quand même
Je sais qu'en la femme fatale
Dans les bras d′un amant trop blême
S'infiltrera l′horrible mal
Dont on crève au lit d'hôpital
J'aime quand même
Mes sens inapaisés
Cherchant pour se griser
L′aventure des nuits louches
Apportez-moi du nouveau
Le désir crispe ma bouche
La volupté brûle ma peau
Je sais qu′à la porte d'un bar
Où j′aurai bu jusqu'à l′extrême
On ramassera quelque part
Mon corps brûlé sur un brancard
Je bois quand même
Que sous la drogue lentement
D'extase en extase suprême
Je m′approche implacablement
Du sombre asile des déments
J'en prends quand même
Je sais qu'en la femme fatale
Dans les bras d′un amant trop blême
S′infiltrera l'horrible mal
Dont on crève au lit d′hôpital
J'aime quand même
Vraiment ne me dit rien
La vertu n′est que faiblesse
Qui voit sa fin dans le ciel
Je préfère la promesse
Des paradis artificiels
Je sais qu'à la porte d′un bar
Où j'aurai bu jusqu'à l′extrême
On ramassera quelque part
Mon corps brûlé sur un brancard
Je bois quand même
Que sous la drogue lentement
D′extase en extase suprême
Je m'approche implacablement
Du sombre asile des déments
J′en prends quand même
Je sais qu'en la femme fatale
Dans les bras d′un amant trop blême
S'infiltrera l′horrible mal
Dont on crève au lit d'hôpital
J'aime quand même
Mes sens inapaisés
Cherchant pour se griser
L′aventure des nuits louches
Apportez-moi du nouveau
Le désir crispe ma bouche
La volupté brûle ma peau
Je sais qu′à la porte d'un bar
Où j′aurai bu jusqu'à l′extrême
On ramassera quelque part
Mon corps brûlé sur un brancard
Je bois quand même
Que sous la drogue lentement
D'extase en extase suprême
Je m′approche implacablement
Du sombre asile des déments
J'en prends quand même
Je sais qu'en la femme fatale
Dans les bras d′un amant trop blême
S′infiltrera l'horrible mal
Dont on crève au lit d′hôpital
J'aime quand même
Writer(s): Louis Poterat, Jean Mario, Jean Wiener Lyrics powered by www.musixmatch.com