Les Mensonges d'un père à son fils Songtext
von Serge Reggiani
Les Mensonges d'un père à son fils Songtext
Le temps, petit Simon, où tu m′arrivais à la taille
Ça me semble encore tout à l'heure mais déjà, tu m′arrives au cœur
Pour toi commence la bataille
Le temps, petit Simon, que je te fasse un peu l'école
Me semble venir aujourd'hui, redonne-moi de cet alcool
Que je te parle de la vie
Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s′en vont pas
Tu verras
On rit bien sur la Terre
Malbrough ne s′en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras
Et puis, petit Simon, chez nous, personne ne vieillit
Nous sommes là et ne crois pas que nous partirons d'aujourd′hui
Pour habiter dans autrefois
L'amour, c′est tous les jours qu'on le rencontre dans la vie
Et rien ne passe et rien ne casse, redonne-moi de l′eau-de-vie
À peine, à peine, voilà, merci
Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s'en vont pas
Tu verras
On rit bien sur la terre
Malbrough ne s'en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras
Les femmes infidèles on les voit dans les aquarelles
Elles vous querellent sous les ombrelles dans la vie, ce n′sont pas les mêmes
Elles nous aiment, elles nous aiment
Un homme, petit Simon, ce n′est jamais comme un navire
Qu'on abandonne quand il chavire et tout le monde quitte le bord
Les femmes et les enfants d′abord
Tu verras
Les maisons ne meurent pas
Les idées ne vous quittent pas
Le cœur ne s'en va pas
Tu verras
Tu va suivre en beauté
Les chemins de la liberté
Tu vivras, tu verras
Comme moi
Le temps, petit Simon, où tu m′arrivais à la taille
Ça me semble encore tout à l'heure mais déjà, tu m′arrives au cœur
Pour toi commence la bataille
Alors, petit garçon, moi qui t'aimais, toi qui m'aimais
Souviens-toi que ton père avait une sainte horreur du mensonge
Une sainte horreur du mensonge
Ça me semble encore tout à l'heure mais déjà, tu m′arrives au cœur
Pour toi commence la bataille
Le temps, petit Simon, que je te fasse un peu l'école
Me semble venir aujourd'hui, redonne-moi de cet alcool
Que je te parle de la vie
Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s′en vont pas
Tu verras
On rit bien sur la Terre
Malbrough ne s′en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras
Et puis, petit Simon, chez nous, personne ne vieillit
Nous sommes là et ne crois pas que nous partirons d'aujourd′hui
Pour habiter dans autrefois
L'amour, c′est tous les jours qu'on le rencontre dans la vie
Et rien ne passe et rien ne casse, redonne-moi de l′eau-de-vie
À peine, à peine, voilà, merci
Tu verras
Les amis ne meurent pas
Les enfants ne vous quittent pas
Les femmes ne s'en vont pas
Tu verras
On rit bien sur la terre
Malbrough ne s'en va plus en guerre
Il a fait la dernière
Tu verras
Les femmes infidèles on les voit dans les aquarelles
Elles vous querellent sous les ombrelles dans la vie, ce n′sont pas les mêmes
Elles nous aiment, elles nous aiment
Un homme, petit Simon, ce n′est jamais comme un navire
Qu'on abandonne quand il chavire et tout le monde quitte le bord
Les femmes et les enfants d′abord
Tu verras
Les maisons ne meurent pas
Les idées ne vous quittent pas
Le cœur ne s'en va pas
Tu verras
Tu va suivre en beauté
Les chemins de la liberté
Tu vivras, tu verras
Comme moi
Le temps, petit Simon, où tu m′arrivais à la taille
Ça me semble encore tout à l'heure mais déjà, tu m′arrives au cœur
Pour toi commence la bataille
Alors, petit garçon, moi qui t'aimais, toi qui m'aimais
Souviens-toi que ton père avait une sainte horreur du mensonge
Une sainte horreur du mensonge
Writer(s): Jacques Datin, Jean Loup Dabadie Lyrics powered by www.musixmatch.com