Il y a… Songtext
von Gérard Lenorman
Il y a… Songtext
J′ai tout un cimetière au coeur de la mémoire
Des parents, des amis, des amours, des histoires
Et chaque soir, j'entends creuser le fossoyeur
Il y a toujours quelqu′un, quelque part, qui se meurt
Il y a toujours quelqu'un, quelque part, qui se meurt
Qui se meurt, qui se meurt, qui se meurt
Je vis comme un Indien, dans la jungle des villes
Un manouche indompté, changeant de domicile
Dans une caravane couverte de photos
Avec des souvenirs à remplir un château
Et quand les projecteurs brûlent ma vie d'artiste
L′ombre des séquestrés plane sur les choristes
Dans mon acharnement à défendre leurs noms
Quelques gouttes de sang tombent de mes chansons
J′ai tout un cimetière au coeur de la mémoire
Des parents, des amis, des amours, des histoires
Et chaque soir, j'entends creuser le fossoyeur
Il y a toujours quelqu′un, quelque part, qui se meurt
Il y a toujours quelqu'un, quelque part, qui se meurt
Qui se meurt, qui se meurt, qui se meurt
Je vis au jour le jour, comme un chasseur de primes
Poursuivant cette vie qui fait tant de victimes
Des milliers d′innocents, des millions de martyrs
Et je porte le deuil de ceux qui vont mourir
C'est pourquoi je me bats, c′est pourquoi je dénonce
À toutes mes questions, je veux une réponse
Les clameurs d'une salle au public déchaîné
Ne couvriront jamais le cri des opprimés
J'ai tout un cimetière au coeur de la mémoire
Des parents, des amis, des amours, des histoires
Et chaque soir, j′entends creuser le fossoyeur
Il y a toujours quelqu′un, quelque part, qui se meurt
Il y a toujours quelqu'un, quelque part, qui se meurt
Qui se meurt, qui se meurt, qui se meurt
Il y a toujours quelqu′un, quelque part, qui se meurt
Il y a toujours quelqu'un, quelque part, qui se meurt
Des parents, des amis, des amours, des histoires
Et chaque soir, j'entends creuser le fossoyeur
Il y a toujours quelqu′un, quelque part, qui se meurt
Il y a toujours quelqu'un, quelque part, qui se meurt
Qui se meurt, qui se meurt, qui se meurt
Je vis comme un Indien, dans la jungle des villes
Un manouche indompté, changeant de domicile
Dans une caravane couverte de photos
Avec des souvenirs à remplir un château
Et quand les projecteurs brûlent ma vie d'artiste
L′ombre des séquestrés plane sur les choristes
Dans mon acharnement à défendre leurs noms
Quelques gouttes de sang tombent de mes chansons
J′ai tout un cimetière au coeur de la mémoire
Des parents, des amis, des amours, des histoires
Et chaque soir, j'entends creuser le fossoyeur
Il y a toujours quelqu′un, quelque part, qui se meurt
Il y a toujours quelqu'un, quelque part, qui se meurt
Qui se meurt, qui se meurt, qui se meurt
Je vis au jour le jour, comme un chasseur de primes
Poursuivant cette vie qui fait tant de victimes
Des milliers d′innocents, des millions de martyrs
Et je porte le deuil de ceux qui vont mourir
C'est pourquoi je me bats, c′est pourquoi je dénonce
À toutes mes questions, je veux une réponse
Les clameurs d'une salle au public déchaîné
Ne couvriront jamais le cri des opprimés
J'ai tout un cimetière au coeur de la mémoire
Des parents, des amis, des amours, des histoires
Et chaque soir, j′entends creuser le fossoyeur
Il y a toujours quelqu′un, quelque part, qui se meurt
Il y a toujours quelqu'un, quelque part, qui se meurt
Qui se meurt, qui se meurt, qui se meurt
Il y a toujours quelqu′un, quelque part, qui se meurt
Il y a toujours quelqu'un, quelque part, qui se meurt
Writer(s): Guy Jacques Skornik Lyrics powered by www.musixmatch.com