Comme une chanson bizarre Songtext
von Gérard Lenorman
Comme une chanson bizarre Songtext
(Gérard Lenorman/Nicolas Peyrac)
Me revient à la mémoire comme une chanson bizarre
Que je chantais sans y croire
Quand le rêve est trop fragile pour qu′on en garde le fil
Sur les touches blanches et noires
Mon piano jouait tout seul, là dans le matin triste et sale
Un peu comme un chant d'espoir
Qui parlait de paradis perdu
Où les hommes disparus s′aimeraient chaque jour un peu plus {x2}
Dans ma chanson plus de guerres, plus de rêves éphémères
S'envolant au petit jour
L'aigle épouse la colombe et la terre est presque ronde
Tant elle enfante l′amour
Plus de chagrins dérisoires qui détruisent les histoires
Les enfants deviennent rois
Rois de tous ces paradis perdus
Où les hommes disparus s′aiment chaque jour un peu plus {x2}
Me revient à la mémoire comme une chanson bizarre
Que je jouais malgré moi
Comme si j'étais la plume que quelques rayons de lune
Guideraient entre mes doigts
Je ne pouvais pas me taire, j′abolissais les frontières
Sur le clavier sous mes doigts
S'évaillaient les paradis perdus
Où les hommes disparus s′aimaient chaque jour un peu plus {x2}
Un peu de moi un peu de vous, beaucoup d'amour et tant et tant
D′espoir au coeur du monde entier {x 10}
Me revient à la mémoire comme une chanson bizarre
Que je chantais sans y croire
Quand le rêve est trop fragile pour qu′on en garde le fil
Sur les touches blanches et noires
Mon piano jouait tout seul, là dans le matin triste et sale
Un peu comme un chant d'espoir
Qui parlait de paradis perdu
Où les hommes disparus s′aimeraient chaque jour un peu plus {x2}
Dans ma chanson plus de guerres, plus de rêves éphémères
S'envolant au petit jour
L'aigle épouse la colombe et la terre est presque ronde
Tant elle enfante l′amour
Plus de chagrins dérisoires qui détruisent les histoires
Les enfants deviennent rois
Rois de tous ces paradis perdus
Où les hommes disparus s′aiment chaque jour un peu plus {x2}
Me revient à la mémoire comme une chanson bizarre
Que je jouais malgré moi
Comme si j'étais la plume que quelques rayons de lune
Guideraient entre mes doigts
Je ne pouvais pas me taire, j′abolissais les frontières
Sur le clavier sous mes doigts
S'évaillaient les paradis perdus
Où les hommes disparus s′aimaient chaque jour un peu plus {x2}
Un peu de moi un peu de vous, beaucoup d'amour et tant et tant
D′espoir au coeur du monde entier {x 10}
Writer(s): Gerard Christian Eric Lenorman, Jean-jacques Tazartez Lyrics powered by www.musixmatch.com