Sac à dos Songtext
von Bigflo & Oli
Sac à dos Songtext
Hé Antoine, tu te souviens
La cour nous paraissait si grande
On parsemait de fous rires même les plus longs des silences
Les bogues de marrons sur le sol
On courrait sans savoir où aller, on se foutait de savoir ce qu'était la mode
Un peu primaires, on pouvait se battre pour un paquet d'autocollants
L'époque des pogs, les pokemons, les goals volants
Maintenant j'fais le tour de la cour en quelque pas, c'était le bon vieux temps mais on l'savait pas, hein
Hé Robin, tu t'souviens le temps des premières soirées
On mettait du rap à fond, les autres nous prenaient pour des tarés
On taclait sur le béton, à s'en racler les genoux, on s'est vite rendu compte que les filles étaient pas pareilles que nous Les premières erreurs, les premiers collègues, les premiers écarts
Les premières tentatives de drague avec nos têtes de têtards
Par fierté, on étouffait les cris du cœur, on grattait des pièces avec une règle sous le distributeur
Hé Marion, tu t'souviens l'odeur de clopes au bout des doigts
Les chevaliers avec des scooters devenaient des rois
Les cheveux lissés, le parfum, le maquillage
L'époque du stress, des fausses promesses, des premières fois
On construisait l'avenir à coup de " t'es pas cap "
Tu rêvais d'être journaliste et moi, d'être une star du rap
On s'est promis qu'on s'marierait, si on trouvait pas mieux
Je fais en sorte que nos au revoir ne se transforment pas en adieux, nan...
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ruben, tu te rappelles de nos vacances à parler tous les soirs?
Sur la pointe des pieds quand on passait par l'couloir
Le divorce de tes parents, ton poster de Zidane géant
Notre semaine à La Rochelle j'avais jamais vu l'océan
Je l'avoue aujourd'hui, au foot tu me mettais à l'amende*
On noyait tous nos doutes, dans l'fond d'un sirop à la menthe
Les tours à vélo, les kilomètres de sparadrap
Tu bougeais déjà la tête sur mes textes un peu maladroits
Hé Sarah tu t'souviens ta veste rose un peu trop grande
Seule devant le portail, quand on oubliait d'venir te prendre
Il te chambraient sur tes lunettes, j'crois qu'ils regrettent, franchement
J'm'inquiète quand j'vois comment te parle ton prince charmant
Hé Nassim, j'oublie pas nos heures de colles interminables, nos blagues, nos techniques de triche et de drague un peu nazes
Perdu d'vue sans s'expliquer, pourtant la vie suit son cours
J'espère que ton p'tit frère t'as dit qu'j't'passais l'bonjour
Hé Jimmy, rappelle toi de nos dimanches, nos blagues au téléphone
Dans l'cinéma, la tête des gens quand on parlait trop fort
Le monde paraissait à notre portée, on imaginait l'prénom des passantes qu'on osait pas aborder..
Hé Gass' j'repense à nos fous rires et nos p'tites paniques, la fatigue, des cours de théâtre, de 6 à 8
Le foot avec ton père le tournoi que tout le monde attendait, on s'croise 2 fois par an, pourtant rien n'a changé, nan...
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
La cour nous paraissait si grande
On parsemait de fous rires même les plus longs des silences
Les bogues de marrons sur le sol
On courrait sans savoir où aller, on se foutait de savoir ce qu'était la mode
Un peu primaires, on pouvait se battre pour un paquet d'autocollants
L'époque des pogs, les pokemons, les goals volants
Maintenant j'fais le tour de la cour en quelque pas, c'était le bon vieux temps mais on l'savait pas, hein
Hé Robin, tu t'souviens le temps des premières soirées
On mettait du rap à fond, les autres nous prenaient pour des tarés
On taclait sur le béton, à s'en racler les genoux, on s'est vite rendu compte que les filles étaient pas pareilles que nous Les premières erreurs, les premiers collègues, les premiers écarts
Les premières tentatives de drague avec nos têtes de têtards
Par fierté, on étouffait les cris du cœur, on grattait des pièces avec une règle sous le distributeur
Hé Marion, tu t'souviens l'odeur de clopes au bout des doigts
Les chevaliers avec des scooters devenaient des rois
Les cheveux lissés, le parfum, le maquillage
L'époque du stress, des fausses promesses, des premières fois
On construisait l'avenir à coup de " t'es pas cap "
Tu rêvais d'être journaliste et moi, d'être une star du rap
On s'est promis qu'on s'marierait, si on trouvait pas mieux
Je fais en sorte que nos au revoir ne se transforment pas en adieux, nan...
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ruben, tu te rappelles de nos vacances à parler tous les soirs?
Sur la pointe des pieds quand on passait par l'couloir
Le divorce de tes parents, ton poster de Zidane géant
Notre semaine à La Rochelle j'avais jamais vu l'océan
Je l'avoue aujourd'hui, au foot tu me mettais à l'amende*
On noyait tous nos doutes, dans l'fond d'un sirop à la menthe
Les tours à vélo, les kilomètres de sparadrap
Tu bougeais déjà la tête sur mes textes un peu maladroits
Hé Sarah tu t'souviens ta veste rose un peu trop grande
Seule devant le portail, quand on oubliait d'venir te prendre
Il te chambraient sur tes lunettes, j'crois qu'ils regrettent, franchement
J'm'inquiète quand j'vois comment te parle ton prince charmant
Hé Nassim, j'oublie pas nos heures de colles interminables, nos blagues, nos techniques de triche et de drague un peu nazes
Perdu d'vue sans s'expliquer, pourtant la vie suit son cours
J'espère que ton p'tit frère t'as dit qu'j't'passais l'bonjour
Hé Jimmy, rappelle toi de nos dimanches, nos blagues au téléphone
Dans l'cinéma, la tête des gens quand on parlait trop fort
Le monde paraissait à notre portée, on imaginait l'prénom des passantes qu'on osait pas aborder..
Hé Gass' j'repense à nos fous rires et nos p'tites paniques, la fatigue, des cours de théâtre, de 6 à 8
Le foot avec ton père le tournoi que tout le monde attendait, on s'croise 2 fois par an, pourtant rien n'a changé, nan...
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Ni un adulte ni un ado
J'essaye de garder la tête sur les épaules
Sur les épaules, la trace du sac-à-dos
Pourtant ça fait longtemps, qu'j'ai quitté l'école..
Writer(s): OLIVIO LAURENTINO ORDONEZ, BARBARA LIANE ELLIS, JESSE SINGER, CHRIS RYAN SOPER, GRETCHEN CHRISTOPHER, GARY R TROXEL, FLORIAN JOSE ORDONEZ Lyrics powered by www.musixmatch.com