Dame dame Songtext
von Michel Polnareff
Dame dame Songtext
Au premier jour de ma vie
Il y avait une dame, dame, dame, dame, dame
Qui répondait de mon âme
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Quand elle se penchait au-dessus de moi, ses yeux
Étaient le premier miroir où je pouvais me voir
Elle m′appelait par des noms que
Jamais, non, jamais, non, jamais, je n'ai plus entendu depuis
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
D′une ardoise et d'une craie, elle fit
Une femme, dame, dame, femme, dame
Qui répondait à mon âme
Cette dame, dame, dame, femme, dame
Elle traça d'abord ce qu′elle appelait
Les lèvres, le cou puis les seins sur lesquels elle insista beaucoup
Elle ébaucha le reste, enfin
Disant que tout le bonheur du monde était dans ce dessin
D′une dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Et devant ce croquis, mon âme
Se pâme, pâme, pâme, pâme, pâme
Mais c'est le modèle que déjà, je réclame
Dame, dame, dame, dame
Il est plus facile, en vérité
D′avoir un dessin qu'un modèle, le rêve que la réalité
Le reste me laissait te supposer
Qu′il me faudrait bien des années
Pour trouver ce qu'on appelait
Une dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Quand son corps blême et maigre fut nu
Devant mes yeux, je lui dis de partir hors de ma vue
Car il n′avait d'une dame que l'âme
Cet homme-femme, dame, dame, femme, dame
Mais pour qui donc, hmm, me prenez-vous?
Non, non, rien en vous ne rappelle le modèle que je cherche
Depuis le beau jour où ma mère m′a dit
"Tout le bonheur du monde est dans ce dessin
D′une dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame"
La peur et l'espoir à 18 ans se trouvent
Dans la rue des dames, dames, dames, dames
C′est le naufrage de mon pucelage
Dans la rue des dames, dames, dames, dames
Elle m'aborda le sourire en coin
Disant qu′elle était mon dessin et que j'étais tout son bien
À entendre ça, l′argent ne coûte rien
Et le matin venu, je peux dire que je m'en revins sans rien
Dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Je veux aimer qui peut m'aider
Je cherche une dame, dame, dame, dame, dame
Qui peut me dire où trouver, où trouver
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Où trouver ces lèvres, où trouver ces seins?
Où trouver ce cou, ces chevilles fines
Qui donnent à la ronde des envies divines?
Où est cette dame, dame, dame, dame?
Où est cette dame, dame, dame, dame?
Au premier jour de ma vie
Il y avait une dame, dame, dame, dame, dame
Qui répondait de mon âme
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Quand elle se penchait au-dessus de moi, ses yeux
Étaient le premier miroir où je pouvais me voir
Elle m′appelait par des noms que
Jamais, non, jamais, non, jamais, je n′ai plus entendu depuis
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Il y avait une dame, dame, dame, dame, dame
Qui répondait de mon âme
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Quand elle se penchait au-dessus de moi, ses yeux
Étaient le premier miroir où je pouvais me voir
Elle m′appelait par des noms que
Jamais, non, jamais, non, jamais, je n'ai plus entendu depuis
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
D′une ardoise et d'une craie, elle fit
Une femme, dame, dame, femme, dame
Qui répondait à mon âme
Cette dame, dame, dame, femme, dame
Elle traça d'abord ce qu′elle appelait
Les lèvres, le cou puis les seins sur lesquels elle insista beaucoup
Elle ébaucha le reste, enfin
Disant que tout le bonheur du monde était dans ce dessin
D′une dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Et devant ce croquis, mon âme
Se pâme, pâme, pâme, pâme, pâme
Mais c'est le modèle que déjà, je réclame
Dame, dame, dame, dame
Il est plus facile, en vérité
D′avoir un dessin qu'un modèle, le rêve que la réalité
Le reste me laissait te supposer
Qu′il me faudrait bien des années
Pour trouver ce qu'on appelait
Une dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Quand son corps blême et maigre fut nu
Devant mes yeux, je lui dis de partir hors de ma vue
Car il n′avait d'une dame que l'âme
Cet homme-femme, dame, dame, femme, dame
Mais pour qui donc, hmm, me prenez-vous?
Non, non, rien en vous ne rappelle le modèle que je cherche
Depuis le beau jour où ma mère m′a dit
"Tout le bonheur du monde est dans ce dessin
D′une dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame"
La peur et l'espoir à 18 ans se trouvent
Dans la rue des dames, dames, dames, dames
C′est le naufrage de mon pucelage
Dans la rue des dames, dames, dames, dames
Elle m'aborda le sourire en coin
Disant qu′elle était mon dessin et que j'étais tout son bien
À entendre ça, l′argent ne coûte rien
Et le matin venu, je peux dire que je m'en revins sans rien
Dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Je veux aimer qui peut m'aider
Je cherche une dame, dame, dame, dame, dame
Qui peut me dire où trouver, où trouver
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Où trouver ces lèvres, où trouver ces seins?
Où trouver ce cou, ces chevilles fines
Qui donnent à la ronde des envies divines?
Où est cette dame, dame, dame, dame?
Où est cette dame, dame, dame, dame?
Au premier jour de ma vie
Il y avait une dame, dame, dame, dame, dame
Qui répondait de mon âme
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Quand elle se penchait au-dessus de moi, ses yeux
Étaient le premier miroir où je pouvais me voir
Elle m′appelait par des noms que
Jamais, non, jamais, non, jamais, je n′ai plus entendu depuis
Cette dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Dame, dame, dame, dame, dame
Writer(s): Michel Polnareff Lyrics powered by www.musixmatch.com