Petite Société Songtext
von Les Ogres de Barback
Petite Société Songtext
Il y a des fantômes dans ma ville
Que dérangent les cris d′enfants
Qui trouvent le temps inutile
Si on le passe en s'amusant
Ils ont vue sur mon jardin
Et ils ont l′écho du son
Des barbecues, des copains
Si on sort l'accordéon
Ô fantôme des villes nouvelles
Et de tes quartiers sans âme
De tes centres commerciaux sans ciel
De tes faux plafonds infâmes
Je m'enfuie pour une vie nouvelle
Où les marmots ne seront plus
Le prétexte d′une ribambelle
D′idées loufoques et corrompues
Et si tu pries gentiment
Tu nous juges et c'est méchant
Toi qui nous avais appris pourtant
À ne pas perdre de temps
Ô fantôme des idées gratte-ciel
Ou doux rêveur dépassé
Tu voyais la grande citadelle
Le paradis dans les cités
Pierre ô pierre, je ne jette pas la pierre
Je constate le gâchis
De petites maisons pas centenaires
Recouvertes de crépi
On fait du neuf avec du neuf
Ni une ni deux le neuf est vieux
De ta loi qui marchande et qui bluffe
Nos âmes d′imbéciles heureux
Ô fantôme des quartiers résidentiels
Que n'as-tu pas profité
Tu vis la vie, de moins en moins belle
Quand tout te pendais au nez
Pardonne-moi, ne prends pas tout cela
Comme une attaque trop sévère
Tu es un fantôme au cœur qui bat
Bien plus vivant que deux frères
Eux qui ont tout dévoré
Tes premières idées, tes dernières
Sans jamais avoir su estimer
Tout ce qui leur était offert
Ô fantôme des bourgs artificiels
Ils ne t′ont jamais dit merci
Ils t'ont laissé te brûler les ailes
Ils s′en mordront les doigts aussi
Ô fantômes des villes nouvelles
On se recroisera sûrement
Dans ma vie bientôt devenue belle
Près de mon village, des vents
Que dérangent les cris d′enfants
Qui trouvent le temps inutile
Si on le passe en s'amusant
Ils ont vue sur mon jardin
Et ils ont l′écho du son
Des barbecues, des copains
Si on sort l'accordéon
Ô fantôme des villes nouvelles
Et de tes quartiers sans âme
De tes centres commerciaux sans ciel
De tes faux plafonds infâmes
Je m'enfuie pour une vie nouvelle
Où les marmots ne seront plus
Le prétexte d′une ribambelle
D′idées loufoques et corrompues
Et si tu pries gentiment
Tu nous juges et c'est méchant
Toi qui nous avais appris pourtant
À ne pas perdre de temps
Ô fantôme des idées gratte-ciel
Ou doux rêveur dépassé
Tu voyais la grande citadelle
Le paradis dans les cités
Pierre ô pierre, je ne jette pas la pierre
Je constate le gâchis
De petites maisons pas centenaires
Recouvertes de crépi
On fait du neuf avec du neuf
Ni une ni deux le neuf est vieux
De ta loi qui marchande et qui bluffe
Nos âmes d′imbéciles heureux
Ô fantôme des quartiers résidentiels
Que n'as-tu pas profité
Tu vis la vie, de moins en moins belle
Quand tout te pendais au nez
Pardonne-moi, ne prends pas tout cela
Comme une attaque trop sévère
Tu es un fantôme au cœur qui bat
Bien plus vivant que deux frères
Eux qui ont tout dévoré
Tes premières idées, tes dernières
Sans jamais avoir su estimer
Tout ce qui leur était offert
Ô fantôme des bourgs artificiels
Ils ne t′ont jamais dit merci
Ils t'ont laissé te brûler les ailes
Ils s′en mordront les doigts aussi
Ô fantômes des villes nouvelles
On se recroisera sûrement
Dans ma vie bientôt devenue belle
Près de mon village, des vents
Writer(s): Frederic Burguiere, Samuel Burguiere, Mathilde Burguiere, Alice Burguiere Lyrics powered by www.musixmatch.com