Saltimbanques de fortune Songtext
von HK et les saltimbanks
Saltimbanques de fortune Songtext
Passera le temps,
Passeront les hivers rudes et pourtant
Saltimbanques de fortune
Compagnons d′infortune
Wo Yo Yo Yo
Ils s'ront toujours là
Nous on f′ra comm' s'ils n′existaient pas
Saltimbanques de fortune
Compagnons d′infortune
Wo Yo Yo Yo
Enfermé dans mon quotidien je n'vois pas
Ces gens qui vivent là-bas,
En bas d′chez moi
Ces gens qui veillent dehors,
Quand tout l'monde dort
Et qui se demandent encore pourquoi le silence est d′or
D'ordinaire,
Les gens ordinaires ne leur parlent pas
D′ordinaire,
Les gens comme moi ne les voient même pas
Et quand les degrés descendent
Dans mon nid douillet là-haut
J'ferme les yeux, sur tout ça j'm′endors au chaud
Encore dans nos mémoires ce comique au grand coeur
Lui qui donnait rencard à ceux qui n′avaient plus rien
Elle est à toi cette chanson
Et à tous ceux
Qui ont su donner de leur temps pour que le monde se porte mieux
Tout'ces années
Ces anonymes se battant pour leurs paires
Tout′ces années
Où nos dirigeants n'ont rien su faire
Tout′ces années où moi-même
J'ai fermé les yeux
Pendant qu′en bas d'chez moi certains dormaient dans des journaux
Qui a pu oublier l'histoire de cet abbé
Lui qu′y a plu d′cinquant' ans
S′était indigné
Cette pauvre femme
De chez elle expulsée
Morte le soir même
Dans ces mains un triste papier
Et depuis
Combien d'histoires similaires
Et depuis
Combien de pauvres n′ont pas passé l'hiver
Paix et salut sur vous
Monsieur l′abbé
Mais en 57 ans tell'ment peu de choses ont changé
Passeront les hivers rudes et pourtant
Saltimbanques de fortune
Compagnons d′infortune
Wo Yo Yo Yo
Ils s'ront toujours là
Nous on f′ra comm' s'ils n′existaient pas
Saltimbanques de fortune
Compagnons d′infortune
Wo Yo Yo Yo
Enfermé dans mon quotidien je n'vois pas
Ces gens qui vivent là-bas,
En bas d′chez moi
Ces gens qui veillent dehors,
Quand tout l'monde dort
Et qui se demandent encore pourquoi le silence est d′or
D'ordinaire,
Les gens ordinaires ne leur parlent pas
D′ordinaire,
Les gens comme moi ne les voient même pas
Et quand les degrés descendent
Dans mon nid douillet là-haut
J'ferme les yeux, sur tout ça j'm′endors au chaud
Encore dans nos mémoires ce comique au grand coeur
Lui qui donnait rencard à ceux qui n′avaient plus rien
Elle est à toi cette chanson
Et à tous ceux
Qui ont su donner de leur temps pour que le monde se porte mieux
Tout'ces années
Ces anonymes se battant pour leurs paires
Tout′ces années
Où nos dirigeants n'ont rien su faire
Tout′ces années où moi-même
J'ai fermé les yeux
Pendant qu′en bas d'chez moi certains dormaient dans des journaux
Qui a pu oublier l'histoire de cet abbé
Lui qu′y a plu d′cinquant' ans
S′était indigné
Cette pauvre femme
De chez elle expulsée
Morte le soir même
Dans ces mains un triste papier
Et depuis
Combien d'histoires similaires
Et depuis
Combien de pauvres n′ont pas passé l'hiver
Paix et salut sur vous
Monsieur l′abbé
Mais en 57 ans tell'ment peu de choses ont changé
Writer(s): Sebastien Robert Jacques Wacheux, Louis Henry Chambat, Kaddour Hadadi, Eric Janson, Meddhy Hakim Ziouche, Jeoffrey Arnone, Manuel Paris Lyrics powered by www.musixmatch.com