Perlimpinpin Songtext
von Barbara
Perlimpinpin Songtext
Pour qui, combien, quand et pourquoi, contre qui, comment, contre quoi
C′en est assez de vos violences
D'où venez-vous, où allez-vous, qui êtes-vous, qui priez-vous
Je vous prie de faire silence
Pour qui, comment, quand et pourquoi, s′il faut absolument qu'on soit
Contre quelqu'un ou quelque chose
Je suis pour le soleil couchant, en haut des collines désertes
Je suis pour les forêts profondes
Car un enfant qui pleure qu′il soit de n′importe où est un enfant qui pleure
Car un enfant qui meurt au bout de vos fusils est un enfant qui meurt
Que c'est abominable d′avoir à choisir entre deux innocences
Que c'est abominable d′avoir pour ennemis, les rires de l'enfance
Pour qui, comment, quand et combien, contre qui, comment, et combien
À en perdre le goût de vivre
Le goût de l′eau, le goût du pain et celui du Perlimpinpin dans le square des Batignolles
Mais pour rien, mais pour presque rien pour être avec vous et c'est bien
Et pour une rose entr'ouverte
Et pour une respiration, et pour un souffle d′abandon, et pour un jardin qui frissonne
Rien avoir, mais passionnément, ne rien se dire éperdument, ne rien savoir avec ivresse
Riche de la dépossession, n′avoir que sa vérité, posséder toutes les richesses
Ne pas parler de poésie, ne pas parler de poésie, en écrasant les fleurs sauvages
Et voir jouer la transparence au fond d'une cour au murs gris, où l′aube n'a jamais sa chance
Contre qui, ou bien, contre quoi, pour qui, comment, quand et pourquoi
Pour retrouver le goût de vivre
Le goût de l′eau, le goût du pain et celui du Perlimpinpin dans le square des Batignolles
Et contre rien et contre personne, contre personne et contre rien, mais pour une rose entrouverte
Pour l'accordéon qui soupire, et pour un souffle d′abandon et pour un jardin qui frissonne
Et vivre, vivre passionnément, et de combattre seulement qu'avec les feux de la tendresse
Et, riche de dépossession, n'avoir que sa vérité, posséder toutes les richesses
Ne plus parler de poésie, ne plus parler de poésie mais laisser vivre les fleurs sauvages
Et faire jouer la transparence, au fond d′une cour aux murs gris
Où l′aube aurait enfin sa chance
C′en est assez de vos violences
D'où venez-vous, où allez-vous, qui êtes-vous, qui priez-vous
Je vous prie de faire silence
Pour qui, comment, quand et pourquoi, s′il faut absolument qu'on soit
Contre quelqu'un ou quelque chose
Je suis pour le soleil couchant, en haut des collines désertes
Je suis pour les forêts profondes
Car un enfant qui pleure qu′il soit de n′importe où est un enfant qui pleure
Car un enfant qui meurt au bout de vos fusils est un enfant qui meurt
Que c'est abominable d′avoir à choisir entre deux innocences
Que c'est abominable d′avoir pour ennemis, les rires de l'enfance
Pour qui, comment, quand et combien, contre qui, comment, et combien
À en perdre le goût de vivre
Le goût de l′eau, le goût du pain et celui du Perlimpinpin dans le square des Batignolles
Mais pour rien, mais pour presque rien pour être avec vous et c'est bien
Et pour une rose entr'ouverte
Et pour une respiration, et pour un souffle d′abandon, et pour un jardin qui frissonne
Rien avoir, mais passionnément, ne rien se dire éperdument, ne rien savoir avec ivresse
Riche de la dépossession, n′avoir que sa vérité, posséder toutes les richesses
Ne pas parler de poésie, ne pas parler de poésie, en écrasant les fleurs sauvages
Et voir jouer la transparence au fond d'une cour au murs gris, où l′aube n'a jamais sa chance
Contre qui, ou bien, contre quoi, pour qui, comment, quand et pourquoi
Pour retrouver le goût de vivre
Le goût de l′eau, le goût du pain et celui du Perlimpinpin dans le square des Batignolles
Et contre rien et contre personne, contre personne et contre rien, mais pour une rose entrouverte
Pour l'accordéon qui soupire, et pour un souffle d′abandon et pour un jardin qui frissonne
Et vivre, vivre passionnément, et de combattre seulement qu'avec les feux de la tendresse
Et, riche de dépossession, n'avoir que sa vérité, posséder toutes les richesses
Ne plus parler de poésie, ne plus parler de poésie mais laisser vivre les fleurs sauvages
Et faire jouer la transparence, au fond d′une cour aux murs gris
Où l′aube aurait enfin sa chance
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