Oncle Archibald Songtext
von Barbara
Oncle Archibald Songtext
Ô vous, les arracheurs de dents
Tous les cafards, les charlatans
Les prophètes,
Comptez plus sur oncle Archibald
Pour payer les violons du bal
A vos fêtes, a vos fêtes
En courant sus à un voleur
Qui venait de lui chiper l′heure
A sa montre,
Oncle Archibald - coquin de sort!
Fit, de Sa Majesté la Mort
La rencontre la rencontre
Comme une fille de petite vertu
Elle arpentait le trottoir du
Cimetière,
Aguichant les hommes en troussant
Un peu plus haut qu'il n′est décent
Son suaire son suaire
Oncle Archibald, d'un ton gouailleur
Lui dit va-t'en faire pendre ailleurs
Ton squelette,
Fi des femelles décharnées!
Vive les belles un tantinet
Rondelettes rondelettes
Lors, montant sur ses grands chevaux
La mort brandit la longue faux
D′agronome,
Qu′elle cachait dans son linceul
Et faucha d'un seul coup, d′un seul
Le bonhomme le bonhomme
Comme il n'avait pas l′air content
Elle lui dit ça fait longtemps
Que je t'aime
Et notre hymen à tous les deux
Était prévu depuis le jour de
Ton baptême ton baptême
Si tu te couches entre mes bras
Alors la vie te semblera
Plus facile,
Tu y seras hors de portée
Des chiens, des loups, des hommes et
Des imbéciles, imbéciles
Nul n′y contestera tes droits
Tu pourra crier vive le roi
Sans intrigue,
Si l'envie te prend de changer
Tu pourras crier sans danger
Vive la Ligue vive la Ligue
Et mon oncle emboîta le pas
De la belle qui ne semblait pas
Si féroce,
Et les voilà, bras dessus, bras dessous
Les voilà partis je ne sais où
Faire leurs noces faire leurs noces
Ô vous, les arracheurs de dents
Tous les cafards, les charlatans
Les prophètes,
Comptez plus sur oncle Archibald
Pour payer les violons du bal
A vos fêtes à vos fêtes
Tous les cafards, les charlatans
Les prophètes,
Comptez plus sur oncle Archibald
Pour payer les violons du bal
A vos fêtes, a vos fêtes
En courant sus à un voleur
Qui venait de lui chiper l′heure
A sa montre,
Oncle Archibald - coquin de sort!
Fit, de Sa Majesté la Mort
La rencontre la rencontre
Comme une fille de petite vertu
Elle arpentait le trottoir du
Cimetière,
Aguichant les hommes en troussant
Un peu plus haut qu'il n′est décent
Son suaire son suaire
Oncle Archibald, d'un ton gouailleur
Lui dit va-t'en faire pendre ailleurs
Ton squelette,
Fi des femelles décharnées!
Vive les belles un tantinet
Rondelettes rondelettes
Lors, montant sur ses grands chevaux
La mort brandit la longue faux
D′agronome,
Qu′elle cachait dans son linceul
Et faucha d'un seul coup, d′un seul
Le bonhomme le bonhomme
Comme il n'avait pas l′air content
Elle lui dit ça fait longtemps
Que je t'aime
Et notre hymen à tous les deux
Était prévu depuis le jour de
Ton baptême ton baptême
Si tu te couches entre mes bras
Alors la vie te semblera
Plus facile,
Tu y seras hors de portée
Des chiens, des loups, des hommes et
Des imbéciles, imbéciles
Nul n′y contestera tes droits
Tu pourra crier vive le roi
Sans intrigue,
Si l'envie te prend de changer
Tu pourras crier sans danger
Vive la Ligue vive la Ligue
Et mon oncle emboîta le pas
De la belle qui ne semblait pas
Si féroce,
Et les voilà, bras dessus, bras dessous
Les voilà partis je ne sais où
Faire leurs noces faire leurs noces
Ô vous, les arracheurs de dents
Tous les cafards, les charlatans
Les prophètes,
Comptez plus sur oncle Archibald
Pour payer les violons du bal
A vos fêtes à vos fêtes
Writer(s): Georges Brassens Lyrics powered by www.musixmatch.com