L’Absinthe Songtext
von Barbara
L’Absinthe Songtext
Ils buvaient de l′absinthe comme on boirait de l'eau
L′un s'appelait Verlaine, l'autre, c′était Rimbaud
Pour faire des poèmes, on ne boit pas de l′eau
Toi, tu n'es pas Verlaine, toi, tu n′es pas Rimbaud
Mais quand tu dis "je t'aime", oh mon Dieu, que c′est beau
Bien plus beau qu'un poème, de Verlaine ou de Rimbaud
Pourtant, que j′aime entendre encore et puis encore
La chanson des amours quand il pleut sur la ville
La chanson des amours quand il pleut dans mon cœur
Et qu'on a l'âme grise et que les violons pleurent
Pourtant, je veux l′entendre encore et puis encore
Tu sais qu′elle m'enivre comme le bateau ivre
La chanson de ceux-là qui s′aiment et qui en meurent
Et si j'ai l′âme grise, tu sécheras mes pleurs
Ils buvaient de l'absinthe comme l′on boit de l'eau
Mais l'un, c′était Verlaine, l′autre, c'était Rimbaud
Pour faire des poèmes, on ne boit pas de l′eau
Aujourd'hui, les "je t′aime" s'écrivent en deux mots
Finis, les longs poèmes, la musique des mots
Dont se grisait Verlaine dont se saoulait Rimbaud
Que je voudrais connaître ces alcools d′or
Qui leur grisaient le cœur et qui saoulaient leur peine
Oh, fais-les-moi connaître ces alcools d'or
Qui nous grisent le cœur et coulent dans nos veines
Et verse m'en à boire, encore et puis encore
Voilà que je m′enivre, je suis ton bateau ivre
Avec toi, je dérive, oui, je t′aime et j'en meurs
Les vapeurs de l′absinthe m'embrument
Je vois des fleurs qui grimpent
Au velours des rideaux
Quelle est donc cette plainte
Lourde comme un sanglot
Ce sont eux qui reviennent encore et puis encore
Au vent glacé d′hiver, entends-les qui se traînent
Les pendus de Rimbaud, les noyés de Verlaine
Que la mort a figé aux eaux noires de la Seine
J'ai mal de les entendre encore et puis encore
Oh, que ce bateau ivre
Nous mène à la dérive
Qu′il sombre au fond des eaux
Et qu'avec toi, je meurs
On a bu de l'absinthe comme on boirait de l′eau
Et je t′aime, je t'aime, oh mon Dieu, que c′est beau
Bien plus beau qu'un poème de Verlaine ou de Rimbaud
L′un s'appelait Verlaine, l'autre, c′était Rimbaud
Pour faire des poèmes, on ne boit pas de l′eau
Toi, tu n'es pas Verlaine, toi, tu n′es pas Rimbaud
Mais quand tu dis "je t'aime", oh mon Dieu, que c′est beau
Bien plus beau qu'un poème, de Verlaine ou de Rimbaud
Pourtant, que j′aime entendre encore et puis encore
La chanson des amours quand il pleut sur la ville
La chanson des amours quand il pleut dans mon cœur
Et qu'on a l'âme grise et que les violons pleurent
Pourtant, je veux l′entendre encore et puis encore
Tu sais qu′elle m'enivre comme le bateau ivre
La chanson de ceux-là qui s′aiment et qui en meurent
Et si j'ai l′âme grise, tu sécheras mes pleurs
Ils buvaient de l'absinthe comme l′on boit de l'eau
Mais l'un, c′était Verlaine, l′autre, c'était Rimbaud
Pour faire des poèmes, on ne boit pas de l′eau
Aujourd'hui, les "je t′aime" s'écrivent en deux mots
Finis, les longs poèmes, la musique des mots
Dont se grisait Verlaine dont se saoulait Rimbaud
Que je voudrais connaître ces alcools d′or
Qui leur grisaient le cœur et qui saoulaient leur peine
Oh, fais-les-moi connaître ces alcools d'or
Qui nous grisent le cœur et coulent dans nos veines
Et verse m'en à boire, encore et puis encore
Voilà que je m′enivre, je suis ton bateau ivre
Avec toi, je dérive, oui, je t′aime et j'en meurs
Les vapeurs de l′absinthe m'embrument
Je vois des fleurs qui grimpent
Au velours des rideaux
Quelle est donc cette plainte
Lourde comme un sanglot
Ce sont eux qui reviennent encore et puis encore
Au vent glacé d′hiver, entends-les qui se traînent
Les pendus de Rimbaud, les noyés de Verlaine
Que la mort a figé aux eaux noires de la Seine
J'ai mal de les entendre encore et puis encore
Oh, que ce bateau ivre
Nous mène à la dérive
Qu′il sombre au fond des eaux
Et qu'avec toi, je meurs
On a bu de l'absinthe comme on boirait de l′eau
Et je t′aime, je t'aime, oh mon Dieu, que c′est beau
Bien plus beau qu'un poème de Verlaine ou de Rimbaud
Writer(s): Frederic Botton, Monique Serf (barbara) Lyrics powered by www.musixmatch.com