L'Encre du bitume Songtext
von Neg’Marrons
L'Encre du bitume Songtext
Ooooooooh oh oh na nana na
Ooooooh oh oh
J'écris ma vie à l'encre du bitume
Les cicatrices de mon enfance
Il n'y a que le temps qui les consume
Ooooooooooh oh oh oh
La rue a comme un goût d'amertume
Tant d'illusions et d'apparences font couler les Larmes de ma plume
Je suis ce que je suis, chacun est ce qu'il est
Souvent je me suis perdu dans les mauvais Délires de la vie
Le temps peut redéfinir les rôles
Toucher le succés est possible même pour un Lascar sorti des halls
Depuis tout petit j'suis plombé dans un Environnement de tours de béton
Pur enfant de la banlieue comme beaucoup de ma génération
Native de garge sarcelle zone réputée difficile
Chacun veut prouver se faire une réputation, peser et contrôler la ville
Jeune soldat dans ce grand champs de bataille
Je roulais sur une voie où même les durs déraillent
J'passais mon temps sur l'bitume
Sans but et sans thune à répéter mes habitudes
Kaira dans l'attitude
Aujourd'hui j'ai compris que la rue m'a guidé, m'a forgé
Mais elle m'a désigné pour une autre mission
J'reste un soldat qui se doit d'la représenter
Sous une autre forme et une autre vision
Ooooooooh oh oh
J'écris ma vie à l'encre du bitume
Les cicatrices de mon enfance
Il n'y a que le temps qui les consume
Ooooooooooh oh oh oh
La rue a comme un goût d'amertume
Tant d'illusions et d'apparences font couler les larmes de ma plume
170875 Naqui Jacky dans ce monde dans les larmes et les cris hey
Immaculé de sang dès la naissance j'savais pour moi la vie serait un combat sans merci hey
Celle-ci est mon histoire qui ressemble peut être à la tienne celle d'un jeune de banlieue
Donc j'me livre à cur ouvert je chante ma vérité sur l'bite je passe aux aveux
Tout a commencé en ce mois d'août 86 c'était mon premier été a la cité
J'fesais mes premiers pas sur le bitume et entre les tours de béton j'suis vite
Rentré dans le bain sans savoir nager
C'était l'époque tennis ballon, BMX jantes à battons l'époque les tête à tête
à la sortie d'Henri vallon, les après-midi les a pablo zout soucous c le bonmbolow
Les chouarad dans les entrepôts et dépouillage à la lacrimo'
L'époque des fraîches et des papilles la secte aboulaille aussi mon premier groupe
Les SMSI ma première bande les LPJ
Combien sont parmi nous et combien sont partis
Le quartier nous a uni comme il nous a désuni
Aujourd'hui on fait le bilan ou plutôt l'état des lieux
Et on s'rend compte qu'à l'appel on est beaucoup moins nombreux
La rue est parfois mortelle avec ses propres enfants
Si c'était à refaire j'le referais différemment
Ooooooooh oh oh
J'écris ma vie à l'encre du bitume
Les cicatrices de mon enfance
Il n'y a que le temps qui les consume
Ooooooooooh oh oh oh
La rue a comme un goût d'amertume
Tant d'illusions et d'apparences font couler les larmes de ma plume
J'étais un jeune solitaire
J'arpentais le trottoir pour trouver ma place
J'ai pas une âme de gangster
Le mal que j'ai fait je le regrette mais jamais il ne s'efface nan
Connais-tu la solitude toi?
Sais-tu combien elle fait mal mal mal
T'en parler j'en ai l'habitude moi, j'ai toujours eu le cur en cavale
Et les yeux vers les étoiles, la rancune que je ravale
La rue c'est pas mon idéal ma vie se construit
Depuis que je m'en éloigne
Oooooooh oh oh
J'écris ma vie à l'encre du bitume
Les cicatrices de mon enfance
Il n'y a que le temps qui les consume
Ooooooooooh oh oh oh
La rue a comme un goût d'amertume
Tant d'illusions et d'apparences font couler les larmes de ma plume ...
Ooooooh oh oh
J'écris ma vie à l'encre du bitume
Les cicatrices de mon enfance
Il n'y a que le temps qui les consume
Ooooooooooh oh oh oh
La rue a comme un goût d'amertume
Tant d'illusions et d'apparences font couler les Larmes de ma plume
Je suis ce que je suis, chacun est ce qu'il est
Souvent je me suis perdu dans les mauvais Délires de la vie
Le temps peut redéfinir les rôles
Toucher le succés est possible même pour un Lascar sorti des halls
Depuis tout petit j'suis plombé dans un Environnement de tours de béton
Pur enfant de la banlieue comme beaucoup de ma génération
Native de garge sarcelle zone réputée difficile
Chacun veut prouver se faire une réputation, peser et contrôler la ville
Jeune soldat dans ce grand champs de bataille
Je roulais sur une voie où même les durs déraillent
J'passais mon temps sur l'bitume
Sans but et sans thune à répéter mes habitudes
Kaira dans l'attitude
Aujourd'hui j'ai compris que la rue m'a guidé, m'a forgé
Mais elle m'a désigné pour une autre mission
J'reste un soldat qui se doit d'la représenter
Sous une autre forme et une autre vision
Ooooooooh oh oh
J'écris ma vie à l'encre du bitume
Les cicatrices de mon enfance
Il n'y a que le temps qui les consume
Ooooooooooh oh oh oh
La rue a comme un goût d'amertume
Tant d'illusions et d'apparences font couler les larmes de ma plume
170875 Naqui Jacky dans ce monde dans les larmes et les cris hey
Immaculé de sang dès la naissance j'savais pour moi la vie serait un combat sans merci hey
Celle-ci est mon histoire qui ressemble peut être à la tienne celle d'un jeune de banlieue
Donc j'me livre à cur ouvert je chante ma vérité sur l'bite je passe aux aveux
Tout a commencé en ce mois d'août 86 c'était mon premier été a la cité
J'fesais mes premiers pas sur le bitume et entre les tours de béton j'suis vite
Rentré dans le bain sans savoir nager
C'était l'époque tennis ballon, BMX jantes à battons l'époque les tête à tête
à la sortie d'Henri vallon, les après-midi les a pablo zout soucous c le bonmbolow
Les chouarad dans les entrepôts et dépouillage à la lacrimo'
L'époque des fraîches et des papilles la secte aboulaille aussi mon premier groupe
Les SMSI ma première bande les LPJ
Combien sont parmi nous et combien sont partis
Le quartier nous a uni comme il nous a désuni
Aujourd'hui on fait le bilan ou plutôt l'état des lieux
Et on s'rend compte qu'à l'appel on est beaucoup moins nombreux
La rue est parfois mortelle avec ses propres enfants
Si c'était à refaire j'le referais différemment
Ooooooooh oh oh
J'écris ma vie à l'encre du bitume
Les cicatrices de mon enfance
Il n'y a que le temps qui les consume
Ooooooooooh oh oh oh
La rue a comme un goût d'amertume
Tant d'illusions et d'apparences font couler les larmes de ma plume
J'étais un jeune solitaire
J'arpentais le trottoir pour trouver ma place
J'ai pas une âme de gangster
Le mal que j'ai fait je le regrette mais jamais il ne s'efface nan
Connais-tu la solitude toi?
Sais-tu combien elle fait mal mal mal
T'en parler j'en ai l'habitude moi, j'ai toujours eu le cur en cavale
Et les yeux vers les étoiles, la rancune que je ravale
La rue c'est pas mon idéal ma vie se construit
Depuis que je m'en éloigne
Oooooooh oh oh
J'écris ma vie à l'encre du bitume
Les cicatrices de mon enfance
Il n'y a que le temps qui les consume
Ooooooooooh oh oh oh
La rue a comme un goût d'amertume
Tant d'illusions et d'apparences font couler les larmes de ma plume ...
Writer(s): JACKY TEXEIRA, FABIEN LOUBAYI, JIMMY WAIKI MULAMBA, SEBASTIEN GRYSPEERT, THOMAS LAROCHE Lyrics powered by www.musixmatch.com