Bleu Songtext
von Lynda Lemay
Bleu Songtext
Dans mon pays, y a un printemps plus beau que n'importe quel autre
Dans mon pays, cordes au vent, il y a tout plein d'enfants qui sautent
Y a des hivers plus longs que les étés sont verts
Dans mon pays, les étés meurent dans des montagnes de couleurs
Dans mon pays, y a du soleil qui se regarde dans la glace
Dans mon pays, y a des merveilles de patinoires sur les lacs
Y a de l'espace, assez pour s'y perdre toujours
Dans mon pays, au bout de chaque appel à l'aide, y a du secours
Dans mon pays, y a des familles qui éclatent par-ci par-là
Dans mon pays, quand les yeux brillent, ça veut pas dire que c'est de joie
Dans mon pays, y a pas de guerre et puis y a pas d'bombardements
Mais mon pays, c'est quand même sur Terre
Pis bon, la Terre, c'est pas l'firmament
Dans mon pays, y a l'horizon qui est juste un peu plus long qu'ailleurs
Dans mon pays, y a d'la passion et plein d'chanteuses et plein d'chanteurs
On est tous riches de ne pas se prendre au sérieux
Dans mon pays, sur un qui triche, y a mille bons cœurs respectueux
Dans mon pays, y a un drapeau qui ne s'arrête pas de fleurir
On est si bleus, on est si beaux que nul ne peut nous faire rougir
On voit si grand que l'Univers est notre Dieu
Dans mon pays, c'est important qu'le bout du monde soit heureux
Dans mon pays, y a des maisons où, comme ailleurs, y a d'la chamaille
Dans mon pays, y a des poupons nés dans la peur et sur la paille
Dans mon pays, y a d'l'injustice mais faut s'rappeler qu'y en a bien peu
Parce que mon pays, sur la liste des pays, c'est le plus bleu, le plus bleu
Dans mon pays, on parle français avec des perles d'anglicismes
Dans mon pays, c'est vrai, l'anglais déferle en nous avec délice
Y a qu'à s'parler pour se comprendre, c'est logique
De mon pays, on peut voler jusqu'en Irlande ou en Afrique
De mon pays, j'ai dû sortir pour réaliser à quel point
Ben, mon pays, c'est mon avenir, c'est mon début et c'est ma fin
Dans mon pays, on a des rêves parfois trop gros, jamais trop bleus
Dans mon pays, bien sûr, on crève parfois trop tôt, jamais trop vieux
Dans mon pays, l'érable pleure un petit sirop savoureux
Y a des valeurs bien implantées par nos aïeux
Les noms qu'on signe dans mon pays, on les souligne de trois bisous
Un peu comme aux États-Unis, mais les petites croix sont bien d'chez nous
Si vous venez dans mon pays
Vous en ressortirez tout bleu
Et puis malgré c'que Madame nous dit
Nous, d'la visite, ben on en veut
Pour un instant, j'ai oublié mon nom
Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé
Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé
Je reviendrai à Montréal
Je reviendrai à Montréal (chanter comme une bête pour me garder vivante, c'est toi que j'aime)
Chanter à tue-tête c'que j'avais dans l'ventre et les crapauds chantent la liberté
Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver
Mon pays, ce n'est pas un pays, liberté
Gens du pays, c'est votre tour de vous laisser parler d'amour
Gens du pays, c'est votre tour de vous laisser parler d'amour
La vie en rose, je n'ai pas besoin de grand chose (j'aurais voulu être un artiste)
Chanter à tue-tête c' que j'avais dans l'ventre, chanter comme une bête pour me garder vivante
Dans mon pays, cordes au vent, il y a tout plein d'enfants qui sautent
Y a des hivers plus longs que les étés sont verts
Dans mon pays, les étés meurent dans des montagnes de couleurs
Dans mon pays, y a du soleil qui se regarde dans la glace
Dans mon pays, y a des merveilles de patinoires sur les lacs
Y a de l'espace, assez pour s'y perdre toujours
Dans mon pays, au bout de chaque appel à l'aide, y a du secours
Dans mon pays, y a des familles qui éclatent par-ci par-là
Dans mon pays, quand les yeux brillent, ça veut pas dire que c'est de joie
Dans mon pays, y a pas de guerre et puis y a pas d'bombardements
Mais mon pays, c'est quand même sur Terre
Pis bon, la Terre, c'est pas l'firmament
Dans mon pays, y a l'horizon qui est juste un peu plus long qu'ailleurs
Dans mon pays, y a d'la passion et plein d'chanteuses et plein d'chanteurs
On est tous riches de ne pas se prendre au sérieux
Dans mon pays, sur un qui triche, y a mille bons cœurs respectueux
Dans mon pays, y a un drapeau qui ne s'arrête pas de fleurir
On est si bleus, on est si beaux que nul ne peut nous faire rougir
On voit si grand que l'Univers est notre Dieu
Dans mon pays, c'est important qu'le bout du monde soit heureux
Dans mon pays, y a des maisons où, comme ailleurs, y a d'la chamaille
Dans mon pays, y a des poupons nés dans la peur et sur la paille
Dans mon pays, y a d'l'injustice mais faut s'rappeler qu'y en a bien peu
Parce que mon pays, sur la liste des pays, c'est le plus bleu, le plus bleu
Dans mon pays, on parle français avec des perles d'anglicismes
Dans mon pays, c'est vrai, l'anglais déferle en nous avec délice
Y a qu'à s'parler pour se comprendre, c'est logique
De mon pays, on peut voler jusqu'en Irlande ou en Afrique
De mon pays, j'ai dû sortir pour réaliser à quel point
Ben, mon pays, c'est mon avenir, c'est mon début et c'est ma fin
Dans mon pays, on a des rêves parfois trop gros, jamais trop bleus
Dans mon pays, bien sûr, on crève parfois trop tôt, jamais trop vieux
Dans mon pays, l'érable pleure un petit sirop savoureux
Y a des valeurs bien implantées par nos aïeux
Les noms qu'on signe dans mon pays, on les souligne de trois bisous
Un peu comme aux États-Unis, mais les petites croix sont bien d'chez nous
Si vous venez dans mon pays
Vous en ressortirez tout bleu
Et puis malgré c'que Madame nous dit
Nous, d'la visite, ben on en veut
Pour un instant, j'ai oublié mon nom
Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé
Moi, mes souliers ont beaucoup voyagé
Je reviendrai à Montréal
Je reviendrai à Montréal (chanter comme une bête pour me garder vivante, c'est toi que j'aime)
Chanter à tue-tête c'que j'avais dans l'ventre et les crapauds chantent la liberté
Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver
Mon pays, ce n'est pas un pays, liberté
Gens du pays, c'est votre tour de vous laisser parler d'amour
Gens du pays, c'est votre tour de vous laisser parler d'amour
La vie en rose, je n'ai pas besoin de grand chose (j'aurais voulu être un artiste)
Chanter à tue-tête c' que j'avais dans l'ventre, chanter comme une bête pour me garder vivante
Writer(s): Daniel Maurice Boucher, Daniel Thibon, F. D'amour, Fiori, Gaston Rochon, Gilles Valiquette, Jacques Perron, L. Lamarre, Luc Plamondon, Michel Berger, Michel Normandeau, René Francois, Robert Charleboois, S.v. Dufour, Sébastien Plante, Yves Laramée, Yvon Deschamps Lyrics powered by www.musixmatch.com