À toutes les filles... Songtext
von Félix Gray & Didier Barbelivien
À toutes les filles... Songtext
À toutes les filles que j'ai aimées avant
Qui sont devenues femmes maintenant
À leur volcan de larmes, à leur torrent de charme
Je suis resté adolescent.
À toutes les filles que j'ai aimées avant
Des cours de lycée en jardin d'enfants
Aux lettres déchirées, à leurs baisers volés, je suis resté adolescent.
Elles avaient, elles avaient des océans au fond des yeux.
Elles dansaient, elles dansaient pour nous garder plus amoureux.
Elles disaient, elles disaient que l'amour, c'est toute une vie à deux.
Elles avaient, dans un sourire moqueur, quelque chose de secret.
Elles gravaient nos deux cœurs sur les arbres des forêts.
Elles pleuraient comme on pleure quand on a trop aimé.
Des océans au fond des yeux.
À toutes les filles que j'ai aimées avant
Qui sont devenues femmes maintenant
De leurs éclats de rire à nos nuits de plaisir, je suis resté adolescent.
À toutes les filles que j'ai aimées avant
De plage, de soleil en dîners dansants
Aux secrets murmurés, aux passions déchirées, je suis resté adolescent.
Elles avaient, elles avaient des océans au fond des yeux.
Elles dansaient, elles dansaient pour nous garder plus amoureux.
Elles disaient, elles disaient que l'amour, c'est toute une vie à deux.
Elles avaient, dans un sourire moqueur, quelque chose de secret.
Elles gravaient nos deux cœurs sur les arbres des forêts.
Elles pleuraient comme on pleure quand on a trop aimé.
Des océans au fond des yeux.
(Guitare solo)
Elles avaient, elles avaient des océans au fond des yeux.
Elles dansaient, elles dansaient pour nous garder plus amoureux.
Elles disaient, elles disaient que l'amour, c'est toute une vie à deux.
Elles avaient, dans un sourire moqueur, quelque chose de secret.
Elles gravaient nos deux cœurs sur les arbres des forêts.
Elles pleuraient comme on pleure quand on a trop aimé.
Des océans au fond des yeux.
À toutes les filles qu'on a aimées avant.
Qui sont devenues femmes maintenant
À leur volcan de larmes, à leur torrent de charme
Je suis resté adolescent.
À toutes les filles que j'ai aimées avant
Des cours de lycée en jardin d'enfants
Aux lettres déchirées, à leurs baisers volés, je suis resté adolescent.
Elles avaient, elles avaient des océans au fond des yeux.
Elles dansaient, elles dansaient pour nous garder plus amoureux.
Elles disaient, elles disaient que l'amour, c'est toute une vie à deux.
Elles avaient, dans un sourire moqueur, quelque chose de secret.
Elles gravaient nos deux cœurs sur les arbres des forêts.
Elles pleuraient comme on pleure quand on a trop aimé.
Des océans au fond des yeux.
À toutes les filles que j'ai aimées avant
Qui sont devenues femmes maintenant
De leurs éclats de rire à nos nuits de plaisir, je suis resté adolescent.
À toutes les filles que j'ai aimées avant
De plage, de soleil en dîners dansants
Aux secrets murmurés, aux passions déchirées, je suis resté adolescent.
Elles avaient, elles avaient des océans au fond des yeux.
Elles dansaient, elles dansaient pour nous garder plus amoureux.
Elles disaient, elles disaient que l'amour, c'est toute une vie à deux.
Elles avaient, dans un sourire moqueur, quelque chose de secret.
Elles gravaient nos deux cœurs sur les arbres des forêts.
Elles pleuraient comme on pleure quand on a trop aimé.
Des océans au fond des yeux.
(Guitare solo)
Elles avaient, elles avaient des océans au fond des yeux.
Elles dansaient, elles dansaient pour nous garder plus amoureux.
Elles disaient, elles disaient que l'amour, c'est toute une vie à deux.
Elles avaient, dans un sourire moqueur, quelque chose de secret.
Elles gravaient nos deux cœurs sur les arbres des forêts.
Elles pleuraient comme on pleure quand on a trop aimé.
Des océans au fond des yeux.
À toutes les filles qu'on a aimées avant.
Writer(s): Didier BARBELIVIEN, Félix BOUTBOUL, FÉLIX BOUTBOUL, FELIX BOUTBOUL, DIDIER BARBELIVIEN Lyrics powered by www.musixmatch.com