Métropolitain Songtext
von Zoufris Maracas
Métropolitain Songtext
*Bruit de métro qui ferme ses portes*
Amis tarés, cher public
J′ai plus d'pognon mais il m′reste deux chansons
Que je vais exécuter froidement devant vous
Froidement, aussi froidement que le gouvernement
Eborgne nos concitoyens à coup de flash-ball
Trois, quatre
Les amis est-ce qu'on peut y aller?
Dans la folie du métropolitain
L'agitation d′un troupeau de moutons
Promiscuité d′un sept heures du matin
M'a fait rencontré contre ton téton
Dans la torpeur d′un métro qui s'dit rien
L′indifférence polie du matin
L'odeur subtile émanant de ta peau
Me donne envie de zapper mon boulot
Dans la tristesse d′un métro comme un chien
Mon regard vide a rencontré le tien
La contraction de tes zygomatiques
M'ont mis à l'âme une humeur sympathique
Dans la chaleur d′un métro qui m′plaît bien
Ta petite main s'est posé sur mes fesses
Délicatemment tu m′as montré le sein
M'invitant à plus amples tendresses
Alors j′ai rabattu le strapontin
Tu m'as sauté dessus comme une tigresse
Cinquante personnes qui ne demandent rien
Ont assisté à une scène de fesses
Dans le pressé du métropolitain
J′ai pas pensé à prendre ton matricule
Mon pragmatisme abusé par tes reins
En a omis ce détail ridicule
Depuis je te cherche soir et matin
Dans les dédales d'un métro qui sait rien
Je ne mange plus, je n'ai plus envie de rien
Un de ces quatres, je me foutrais sous un train
C′est arrivé d′entendre cette chanson
A dix-sept heures je suis à Montparnasse
Tous les matins je t'attend à Saint Cloup
Mais j′ai l'impreession d′être dans une impasse
Dans les matins des métropolitains
Paraît qu'il se produisent des choses étranges
Des algorithmes, des hasards incertains
Sont quelques fois éffleurés par les anges
Vaï vaï, vaï vaï vaï
Olololololo
Popolololo
Amis tarés, cher public
J′ai plus d'pognon mais il m′reste deux chansons
Que je vais exécuter froidement devant vous
Froidement, aussi froidement que le gouvernement
Eborgne nos concitoyens à coup de flash-ball
Trois, quatre
Les amis est-ce qu'on peut y aller?
Dans la folie du métropolitain
L'agitation d′un troupeau de moutons
Promiscuité d′un sept heures du matin
M'a fait rencontré contre ton téton
Dans la torpeur d′un métro qui s'dit rien
L′indifférence polie du matin
L'odeur subtile émanant de ta peau
Me donne envie de zapper mon boulot
Dans la tristesse d′un métro comme un chien
Mon regard vide a rencontré le tien
La contraction de tes zygomatiques
M'ont mis à l'âme une humeur sympathique
Dans la chaleur d′un métro qui m′plaît bien
Ta petite main s'est posé sur mes fesses
Délicatemment tu m′as montré le sein
M'invitant à plus amples tendresses
Alors j′ai rabattu le strapontin
Tu m'as sauté dessus comme une tigresse
Cinquante personnes qui ne demandent rien
Ont assisté à une scène de fesses
Dans le pressé du métropolitain
J′ai pas pensé à prendre ton matricule
Mon pragmatisme abusé par tes reins
En a omis ce détail ridicule
Depuis je te cherche soir et matin
Dans les dédales d'un métro qui sait rien
Je ne mange plus, je n'ai plus envie de rien
Un de ces quatres, je me foutrais sous un train
C′est arrivé d′entendre cette chanson
A dix-sept heures je suis à Montparnasse
Tous les matins je t'attend à Saint Cloup
Mais j′ai l'impreession d′être dans une impasse
Dans les matins des métropolitains
Paraît qu'il se produisent des choses étranges
Des algorithmes, des hasards incertains
Sont quelques fois éffleurés par les anges
Vaï vaï, vaï vaï vaï
Olololololo
Popolololo
Writer(s): Brice Moscardini, François Causse, Michael Demeyere, Petteri Parviainen, Vincent Allard, Vincent Sanchez Lyrics powered by www.musixmatch.com