C’est ici... Songtext
von Zebda
C’est ici... Songtext
Il pleut sur le premier dimanche de septembre
Perles d′argent qui vont roulant sur ton manteau
Dans le fossé traînant déjà des feuilles d'ambre
La route gicle lorsque passent les autos
Tout est pareil, tout est là comme d′habitude
Le chat, le banc, la table basse et le patron
Tout est pareil mais je sais avec certitude
Que dans mon coeur tout a changé sans rémission
N'essaie pas de m'entraîner vers ta voiture
La mienne est là, je rentrerai de mon côté
Laisse mon bras, ne fais pas de littérature
Car c′est ici que nous allons nous séparer
Jusqu′à ce jour, je le sais bien, c'était un songe
J′avais tes yeux et je voyais ce que tu vois
Mais c'est fini, je ne crois plus à ce mensonge
Réveillons-nous, regardons autour de moi
Regarde le patron dans son tablier sale
Les mouches mortes sur la vitre de la salle
Et le plancher noirci qui grince et qui gémit
Toutes les fois que l′on voudrait passer sans bruit
N'essaie pas de m′entraîner vers ta voiture
La mienne est là, je rentrerai de mon côté
Laisse mon bras, ne fais pas de littérature
Car c'est ici que nous allons nous séparer
Les jours sont devenus si monotones
Que notre été tourne à l'automne
Bien avant la date prévue
L′amour a disparu comme les feuilles
Comme les roses que l′on cueille
Ne laissant qu'un regret de plus
L′amour, ce pauvre cabot qui se grime
Pour y donner sa pantomime
Mettait le décor en couleurs
L'amour est reparti, la scène est vide
Et dans les vieux fauteuils sordides
Il n′y a plus de spectateurs
N'essaie pas de m′entraîner vers ta voiture
La mienne est là, je rentrerai de mon côté
Laisse mon bras, ne fais pas de littérature
Car c'est ici que nous allons nous séparer
N'essaie pas de m′entraîner vers ta voiture
La mienne est là, je rentrerai de mon côté
Laisse mon bras, ne fais pas de littérature
Car c′est ici que nous allons nous séparer
Regarde-les, l'affreux bistrot et sa tonnelle
Le banc rafistolé avec de la ficelle
Le chat pelé qui fait pleuvoir en se lavant
La table basse où l′on s'accoudait en rêvant
Regarde le patron dans son tablier sale
Les mouches mortes sur la vitre de la salle
Et le plancher noirci qui grince et qui gémit
Toutes les fois que l′on voudrait passer sans bruit
Le chat pelé qui fait pleuvoir en se lavant
La table basse où l'on s′accoudait en rêvant
Regarde le patron dans son tablier sale
Les mouches mortes sur la vitre de la salle
Et le plancher noirci qui grince et qui gémit
Toutes les fois que l'on voudrait passer sans bruit
Perles d′argent qui vont roulant sur ton manteau
Dans le fossé traînant déjà des feuilles d'ambre
La route gicle lorsque passent les autos
Tout est pareil, tout est là comme d′habitude
Le chat, le banc, la table basse et le patron
Tout est pareil mais je sais avec certitude
Que dans mon coeur tout a changé sans rémission
N'essaie pas de m'entraîner vers ta voiture
La mienne est là, je rentrerai de mon côté
Laisse mon bras, ne fais pas de littérature
Car c′est ici que nous allons nous séparer
Jusqu′à ce jour, je le sais bien, c'était un songe
J′avais tes yeux et je voyais ce que tu vois
Mais c'est fini, je ne crois plus à ce mensonge
Réveillons-nous, regardons autour de moi
Regarde le patron dans son tablier sale
Les mouches mortes sur la vitre de la salle
Et le plancher noirci qui grince et qui gémit
Toutes les fois que l′on voudrait passer sans bruit
N'essaie pas de m′entraîner vers ta voiture
La mienne est là, je rentrerai de mon côté
Laisse mon bras, ne fais pas de littérature
Car c'est ici que nous allons nous séparer
Les jours sont devenus si monotones
Que notre été tourne à l'automne
Bien avant la date prévue
L′amour a disparu comme les feuilles
Comme les roses que l′on cueille
Ne laissant qu'un regret de plus
L′amour, ce pauvre cabot qui se grime
Pour y donner sa pantomime
Mettait le décor en couleurs
L'amour est reparti, la scène est vide
Et dans les vieux fauteuils sordides
Il n′y a plus de spectateurs
N'essaie pas de m′entraîner vers ta voiture
La mienne est là, je rentrerai de mon côté
Laisse mon bras, ne fais pas de littérature
Car c'est ici que nous allons nous séparer
N'essaie pas de m′entraîner vers ta voiture
La mienne est là, je rentrerai de mon côté
Laisse mon bras, ne fais pas de littérature
Car c′est ici que nous allons nous séparer
Regarde-les, l'affreux bistrot et sa tonnelle
Le banc rafistolé avec de la ficelle
Le chat pelé qui fait pleuvoir en se lavant
La table basse où l′on s'accoudait en rêvant
Regarde le patron dans son tablier sale
Les mouches mortes sur la vitre de la salle
Et le plancher noirci qui grince et qui gémit
Toutes les fois que l′on voudrait passer sans bruit
Le chat pelé qui fait pleuvoir en se lavant
La table basse où l'on s′accoudait en rêvant
Regarde le patron dans son tablier sale
Les mouches mortes sur la vitre de la salle
Et le plancher noirci qui grince et qui gémit
Toutes les fois que l'on voudrait passer sans bruit
Writer(s): Boris Paul Vian, Stephane Amokrane, Hakim Amokrane, Jeremy Jean Charles Dirat, Frederic Renaud Jacques Pallem Lyrics powered by www.musixmatch.com