Les Vierges folles Songtext
von Weepers Circus
Les Vierges folles Songtext
La vierge, la traitresse, l′ignorée de la fesse ne souffrait point de pardon
À l'abri des quatre vents elle fleurait dans son couvent, la bénédiction du père
Hors voilà qu′un jour allant par les chemins du printemps quittant l'eau pour la bénir
La fille qui se jouait des vents se pencha tout en plongeant le seau dedans le puits
Le seau dedans le puits
Le vent du sud a du cœur, cherchant l'ombre et la moiteur déroba la blanche robe
Les pêcheurs ici-présents en furent aveugles longtemps, on y vit la sainte croupe
On disait qu′la vierge sage, était le plus bel ouvrage de la Seine jusqu′au Rhin
Elle craignait que son masque, lui fût si fort et tenace qu'elle en perde tout maintient
Qu′elle en perde tout maintient
Filles de tous les atours, qui êtes belles comme le jour
Détournez-vous du mal qui rode dans le val
Fuyez les quatre vents, restez dans le couvent
Détournez-vous du mal, faites pénitence en priant
Hors déjà, grand bien en fit, la vierge avait l'appétit d′un amour à contre-emploi
Si fine et tant désirable, notre sœur tentait le diable s'en faisait toute une montagne
Si maligne et tant câline, la guêpe aimait la butine de la Seine jusqu′au Rhin
Lors petite fleur se fane se fait grenouiller qui crâne, se fait grosse comme un bœuf
Se fait grosse comme un bœuf
Se fondait en épousailles, avec l'homme des semailles devint l'ombre d′elle-même
1, 2, 3, 4, 5, 6, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, les années passèrent en nombre
Si passées, mais tant friponne, la vieille reine gloutonne, elle s′inondait tôt l'matin
Avec les hommes qui passent que les vents déposent en masse, on file le parfait amour
On file le parfait amour
Filles de tous les atours, qui êtes belles comme le jour
Détournez-vous du mal qui rode dans le val
Fuyez les quatre vents, restez dans le couvent
Détournez-vous du mal, faites pénitence en chantant
Car l′histoire de la sœur finit dans le malheur
Puisqu'elle et tous ses maris, elle et tous ses maris
Furent heureux jusqu′au bout, avec le faste et les sous
Et ils eurent beaucoup d'enfants
Et ils eurent beaucoup d′enfants
À l'abri des quatre vents elle fleurait dans son couvent, la bénédiction du père
Hors voilà qu′un jour allant par les chemins du printemps quittant l'eau pour la bénir
La fille qui se jouait des vents se pencha tout en plongeant le seau dedans le puits
Le seau dedans le puits
Le vent du sud a du cœur, cherchant l'ombre et la moiteur déroba la blanche robe
Les pêcheurs ici-présents en furent aveugles longtemps, on y vit la sainte croupe
On disait qu′la vierge sage, était le plus bel ouvrage de la Seine jusqu′au Rhin
Elle craignait que son masque, lui fût si fort et tenace qu'elle en perde tout maintient
Qu′elle en perde tout maintient
Filles de tous les atours, qui êtes belles comme le jour
Détournez-vous du mal qui rode dans le val
Fuyez les quatre vents, restez dans le couvent
Détournez-vous du mal, faites pénitence en priant
Hors déjà, grand bien en fit, la vierge avait l'appétit d′un amour à contre-emploi
Si fine et tant désirable, notre sœur tentait le diable s'en faisait toute une montagne
Si maligne et tant câline, la guêpe aimait la butine de la Seine jusqu′au Rhin
Lors petite fleur se fane se fait grenouiller qui crâne, se fait grosse comme un bœuf
Se fait grosse comme un bœuf
Se fondait en épousailles, avec l'homme des semailles devint l'ombre d′elle-même
1, 2, 3, 4, 5, 6, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, les années passèrent en nombre
Si passées, mais tant friponne, la vieille reine gloutonne, elle s′inondait tôt l'matin
Avec les hommes qui passent que les vents déposent en masse, on file le parfait amour
On file le parfait amour
Filles de tous les atours, qui êtes belles comme le jour
Détournez-vous du mal qui rode dans le val
Fuyez les quatre vents, restez dans le couvent
Détournez-vous du mal, faites pénitence en chantant
Car l′histoire de la sœur finit dans le malheur
Puisqu'elle et tous ses maris, elle et tous ses maris
Furent heureux jusqu′au bout, avec le faste et les sous
Et ils eurent beaucoup d'enfants
Et ils eurent beaucoup d′enfants
Writer(s): Denis Leonhardt, Alexandre George, Eric Kaija Guerrier, Franck George Lyrics powered by www.musixmatch.com