Légion (Discours du porteur de lumière) Songtext
von Weepers Circus
Légion (Discours du porteur de lumière) Songtext
Première nausée au grand matin des vivants
À l′ombre du livre, la lumière et le sang
Les chemins portent la foule, la prière mal-pieuse
Les besaces voraces, les chasses pieuses
Seconde larme au grand jour d'une peine à jouir
Et mourir encore en la vue des mauvais rires
Le sot sacrement, le saint regard à l′arrière
Le bouc s'exprime, s'aime et récolte sa terre
Et l′on dit de moi, et je dis de moi (et l′on dit de moi, et je dis de moi)
"Je suis Légion, je porte fenaison" (je porte fenaison)
Et l'on dit de moi, et je dis de moi (et l′on dit de moi, et je dis de moi)
"La brise en lisière, et les blés vocifèrent"
Et le fardeau m'écrase
Et la procession m′épuise
Et les saisons m'envasent
Et le trépas m′enlise
Troisième blessure au grand soir des imbéciles
À penser la foi chienne comme la sienne docile
L'étendard infâme, vérité dite haute
Mais se cueille tout en bas, curieuse faute
Dernière affligeance à la grande nuit des cuistres
Se croire en chemin, clouer les rêches épîtres
Les nations imbues en la peste d'elles-mêmes
Je les vois bien enlévrées d′une morve vilaine
Et l′on dit de moi, et je dis de moi (et l'on dit de moi, et je dis de moi)
"Je suis Légion, je porte fenaison" (je porte fenaison)
Et l′on dit de moi, et je dis de moi (et l'on dit de moi, et je dis de moi)
"La brise en lisière, et les blés vocifèrent"
Et le fardeau m′écrase
Et la procession m'épuise
Et les saisons m′envasent
Et le trépas m'enlise
À l′ombre du livre, la lumière et le sang
Les chemins portent la foule, la prière mal-pieuse
Les besaces voraces, les chasses pieuses
Seconde larme au grand jour d'une peine à jouir
Et mourir encore en la vue des mauvais rires
Le sot sacrement, le saint regard à l′arrière
Le bouc s'exprime, s'aime et récolte sa terre
Et l′on dit de moi, et je dis de moi (et l′on dit de moi, et je dis de moi)
"Je suis Légion, je porte fenaison" (je porte fenaison)
Et l'on dit de moi, et je dis de moi (et l′on dit de moi, et je dis de moi)
"La brise en lisière, et les blés vocifèrent"
Et le fardeau m'écrase
Et la procession m′épuise
Et les saisons m'envasent
Et le trépas m′enlise
Troisième blessure au grand soir des imbéciles
À penser la foi chienne comme la sienne docile
L'étendard infâme, vérité dite haute
Mais se cueille tout en bas, curieuse faute
Dernière affligeance à la grande nuit des cuistres
Se croire en chemin, clouer les rêches épîtres
Les nations imbues en la peste d'elles-mêmes
Je les vois bien enlévrées d′une morve vilaine
Et l′on dit de moi, et je dis de moi (et l'on dit de moi, et je dis de moi)
"Je suis Légion, je porte fenaison" (je porte fenaison)
Et l′on dit de moi, et je dis de moi (et l'on dit de moi, et je dis de moi)
"La brise en lisière, et les blés vocifèrent"
Et le fardeau m′écrase
Et la procession m'épuise
Et les saisons m′envasent
Et le trépas m'enlise
Writer(s): Denis Leonhardt, Alexandre George, Eric Kaija Guerrier, Franck George Lyrics powered by www.musixmatch.com