Je me méfie des arbres Songtext
von Schlaasss
Je me méfie des arbres Songtext
Hu
Blllllllah
J′me méfie des arbres
Toujours sur des sales coups
Ils attirent la foudre, les tiques, la mort, les poux
Et quand le soleil brille
Je fuis ce gros pèdzouille
Sa gueule de gorille qui se nourrit, nourrit, nourrit
N
La mer, cette vieille junkie est une poubelle à mort
Dégueulant sans répit choléra, peste et mauvais sorts
Hu
Blllllllah
Rastafarai
Les fleurs sont des putasses offertes au tout venant
Elles prennent tout c'qui passe
Par derrière, par devant
Par derrière, par devant
Par derrière, par devant, par derrière, par devant
Par derrière, par devant
Hu
Les oiseaux sont des cons
Comme des balais à pattes à brailler leurs chansons
De nazis psychopathes
Tous les cailloux s′ennuient coincés dans leurs mutisme
Sans passion, ni envie
Ni Ricard, ni boulisme
Ni Ricard, ni boulisme
Ni Ricard, ni boulisme, ni Ricard, ni boulisme, ni Ricard, ni boulisme
Hu, hoi, hoy, hé, ho
Pastaga
La nature ce tombeau
Ne nous aime que souffrants
Elles nous rongent comme des os
Seuls, nus, pissant le sang
Pissant le sang, pissant le sang
Le vent n'est qu'un loser
Les herbes sont nocives
Triste le ciel d′hiver, la pâleur de l′endive
La nuit est un fantôme et les blés sont débiles
Repoussante est la pomme et les poules sont serviles
Et que pleure la pluie, décrépisse le jour
Que colombes pourrissent
Piquées par les vautours
Par les vautours
Piquées par les vautours, piquées par les vautours
Ah
Hu
Et que la mort triomphe sur son trône de cendres
Ah
La la la la, lala
Et que la mort triomphe
Et que la mort, que la mort, que la mort, que la mort
Que la mort triomphe
Sur son trône de cendre
Ah
La la la la, lala
Blllllllah
J′me méfie des arbres
Toujours sur des sales coups
Ils attirent la foudre, les tiques, la mort, les poux
Et quand le soleil brille
Je fuis ce gros pèdzouille
Sa gueule de gorille qui se nourrit, nourrit, nourrit
N
La mer, cette vieille junkie est une poubelle à mort
Dégueulant sans répit choléra, peste et mauvais sorts
Hu
Blllllllah
Rastafarai
Les fleurs sont des putasses offertes au tout venant
Elles prennent tout c'qui passe
Par derrière, par devant
Par derrière, par devant
Par derrière, par devant, par derrière, par devant
Par derrière, par devant
Hu
Les oiseaux sont des cons
Comme des balais à pattes à brailler leurs chansons
De nazis psychopathes
Tous les cailloux s′ennuient coincés dans leurs mutisme
Sans passion, ni envie
Ni Ricard, ni boulisme
Ni Ricard, ni boulisme
Ni Ricard, ni boulisme, ni Ricard, ni boulisme, ni Ricard, ni boulisme
Hu, hoi, hoy, hé, ho
Pastaga
La nature ce tombeau
Ne nous aime que souffrants
Elles nous rongent comme des os
Seuls, nus, pissant le sang
Pissant le sang, pissant le sang
Le vent n'est qu'un loser
Les herbes sont nocives
Triste le ciel d′hiver, la pâleur de l′endive
La nuit est un fantôme et les blés sont débiles
Repoussante est la pomme et les poules sont serviles
Et que pleure la pluie, décrépisse le jour
Que colombes pourrissent
Piquées par les vautours
Par les vautours
Piquées par les vautours, piquées par les vautours
Ah
Hu
Et que la mort triomphe sur son trône de cendres
Ah
La la la la, lala
Et que la mort triomphe
Et que la mort, que la mort, que la mort, que la mort
Que la mort triomphe
Sur son trône de cendre
Ah
La la la la, lala
Writer(s): Charlotte Duran, Jerome Donzel, Mikael Laugier Lyrics powered by www.musixmatch.com