Biarritz Songtext
von Rhume
Biarritz Songtext
Oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh-oh
Toute la ville est prête à en découdre avec ses habitants
On montre les dents devant un miroir posé en plein carrefour
Je pousse les gens pour être le premier
Parce que mon comportement n′est pas très bon, oui, je sais
Les nerfs me tirent les bras en l'air
Je travaille avec les jambes, plus grandes, devant le miroir
Les danseurs se succèdent à la barre
Je la tiens encore plus fort quand je me couche
Dans mes mains, je vois toute ma journée
Un rêve de skieur obnubilé par les portes
Il faut vivre, ouais, je l′ai dénoncé
Celui qui croit encore conduire sa vie est un chauffard
Il faut le tabasser, il faut lui recoudre le visage à l'envers
Pour qu'il se taise
On nous sourit, on nous dirige vers le Moyen Âge et ses temps pourris
Un peuple d′écuyer, coiffures à l′appui, prépare des chevaux toute la journée
J'imagine que c′est pour nous tirer vers le haut
Je m'avance pour voir
Ils ont créé une somme de progrès, le sol est chaud
Il nous porte sans effort vers les bouches de métro
Les semaines ne pèsent plus
Elles se décollent, puis se recollent sur un calendrier qu′on déroule à l'infini
L′escalator descend dans un hall recouvert de papier journal
À la une, une photo du nouveau quartier avec le nouveau stade
Avec le nouveau ciel, avec le nouveau sucre, avec le nouveau son, le nouveau sol
Avec les nouveaux muscles, avec les nouveaux siècles
Avec les nouveaux signes, la nouvelle soif, avec les nouvelles voix
La nouvelle scène, les nouvelles fêtes, avec les nouvelles têtes
On en voudrait encore, encore, elle coule
Un bouton plein d'air se lève, je pense qu'il a quelque chose à voir avec l′enfer
On court dans un gymnase éclairé par des néons honnis
Dehors les graffitis pâlissent, même sur les murs les plus faciles
Pour notre sécurité, la nuit se déroulera le jour
Nos pays qui s′entendent pour tomber ensemble et pas nous inquiéter
Je m'inquiète pas, je vais au cinéma
J′y cherche quelqu'un que je trouverai peut-être
Je vois les autres, mais ils m′énervent
Toute la ville est prête à en découdre avec ses habitants
On montre les dents devant un miroir posé en plein carrefour
Je pousse les gens pour être le premier
Parce que mon comportement n′est pas très bon, oui, je sais
Les nerfs me tirent les bras en l'air
Je travaille avec les jambes, plus grandes, devant le miroir
Les danseurs se succèdent à la barre
Je la tiens encore plus fort quand je me couche
Dans mes mains, je vois toute ma journée
Un rêve de skieur obnubilé par les portes
Il faut vivre, ouais, je l′ai dénoncé
Celui qui croit encore conduire sa vie est un chauffard
Il faut le tabasser, il faut lui recoudre le visage à l'envers
Pour qu'il se taise
On nous sourit, on nous dirige vers le Moyen Âge et ses temps pourris
Un peuple d′écuyer, coiffures à l′appui, prépare des chevaux toute la journée
J'imagine que c′est pour nous tirer vers le haut
Je m'avance pour voir
Ils ont créé une somme de progrès, le sol est chaud
Il nous porte sans effort vers les bouches de métro
Les semaines ne pèsent plus
Elles se décollent, puis se recollent sur un calendrier qu′on déroule à l'infini
L′escalator descend dans un hall recouvert de papier journal
À la une, une photo du nouveau quartier avec le nouveau stade
Avec le nouveau ciel, avec le nouveau sucre, avec le nouveau son, le nouveau sol
Avec les nouveaux muscles, avec les nouveaux siècles
Avec les nouveaux signes, la nouvelle soif, avec les nouvelles voix
La nouvelle scène, les nouvelles fêtes, avec les nouvelles têtes
On en voudrait encore, encore, elle coule
Un bouton plein d'air se lève, je pense qu'il a quelque chose à voir avec l′enfer
On court dans un gymnase éclairé par des néons honnis
Dehors les graffitis pâlissent, même sur les murs les plus faciles
Pour notre sécurité, la nuit se déroulera le jour
Nos pays qui s′entendent pour tomber ensemble et pas nous inquiéter
Je m'inquiète pas, je vais au cinéma
J′y cherche quelqu'un que je trouverai peut-être
Je vois les autres, mais ils m′énervent
Writer(s): Bruce Johnston, Joe Hartnett Lyrics powered by www.musixmatch.com