Mon frère Songtext
von P.R2B
Mon frère Songtext
Je me croyais invincible
Quand je courrais avec toi
Mon frère tout était possible
Même si tu n′as pas le même sang que moi
Je t'ai connu à l′école et je ne t'ai jamais quitté
Et aujourd'hui je t′appelle pour parler
Rappelle toi les journées les heures perdues
A creuser le jardin
On s′était dit que les journaux
Nous colportaient des salades
Et dans le trou on croyait pouvoir
Entendre les indiens
C'était si bon dе voler
Qu′on s'en est rеndus malades
Les étoiles filaient sous nos yeux
Un vœu pour chaque destin rêvé
On n′aurait jamais pu rêver mieux
Dans une Clio on s'est dit qu′on s'aimait
Mon frère le monde est devenu fou
Quand je ferme les yeux je te vois
Restons les enfants qu'on fait de nous
Le vent se lève mais moi je ne bougerai pas
Rappelle toi quand on est allés
Frapper aux portes du quartier
Etes vous d′accord avec la peine de mort
C′est pour la télé
Nous on militait contre, pour la vie et pour les idées
Ils n'étaient pas du même avis
Mais ils ont changé d′idées
On a adopté un chien sur la plage
On a rêvé de n'être jamais sage et
On voulait vivre comme au moyen âge
On était vraiment pas très forts pour draguer
Je t′ai vu crier tu m'as vu pleurer
On peut compter sur les doigts
Les fois où l′on s'est quittés
Je t'ai vu prier tu m′as vu chanter
On peut compter sur les doigts
Les fois où l′on s'est détestés
Mon frère le monde est devenu fou
Quand je ferme les yeux je te vois
Restons les enfants qu′on fait de nous
Le vent se lève mais moi je ne bougerai pas
Jamais il n'y aura de jamais
J′aimerai te dire des âneries
J'avouerai mes mensonges après
Et je profiterai de la vie
J′irai sonner chez toi la nuit
J'aurai trop bu mais je rirai
Et jaloux tu feras pire
Tout jusqu'au lever du jour
Jamais il n′y aura de toujours
Je t′ai perdu parfois mon frère
Et les heures défilent et courent
Pire que pendant les concerts
Toujours plus de fous de folies
On voudrait changer de façon
Tes yeux bleus se noie dans le gris
Moi je porte le noir sur le front
Mon frère le monde est devenu fou
Quand je ferme les yeux je te vois
Restons les enfants qu'on fait de nous
Le vent se lève mais moi je ne bougerai pas
Quand je courrais avec toi
Mon frère tout était possible
Même si tu n′as pas le même sang que moi
Je t'ai connu à l′école et je ne t'ai jamais quitté
Et aujourd'hui je t′appelle pour parler
Rappelle toi les journées les heures perdues
A creuser le jardin
On s′était dit que les journaux
Nous colportaient des salades
Et dans le trou on croyait pouvoir
Entendre les indiens
C'était si bon dе voler
Qu′on s'en est rеndus malades
Les étoiles filaient sous nos yeux
Un vœu pour chaque destin rêvé
On n′aurait jamais pu rêver mieux
Dans une Clio on s'est dit qu′on s'aimait
Mon frère le monde est devenu fou
Quand je ferme les yeux je te vois
Restons les enfants qu'on fait de nous
Le vent se lève mais moi je ne bougerai pas
Rappelle toi quand on est allés
Frapper aux portes du quartier
Etes vous d′accord avec la peine de mort
C′est pour la télé
Nous on militait contre, pour la vie et pour les idées
Ils n'étaient pas du même avis
Mais ils ont changé d′idées
On a adopté un chien sur la plage
On a rêvé de n'être jamais sage et
On voulait vivre comme au moyen âge
On était vraiment pas très forts pour draguer
Je t′ai vu crier tu m'as vu pleurer
On peut compter sur les doigts
Les fois où l′on s'est quittés
Je t'ai vu prier tu m′as vu chanter
On peut compter sur les doigts
Les fois où l′on s'est détestés
Mon frère le monde est devenu fou
Quand je ferme les yeux je te vois
Restons les enfants qu′on fait de nous
Le vent se lève mais moi je ne bougerai pas
Jamais il n'y aura de jamais
J′aimerai te dire des âneries
J'avouerai mes mensonges après
Et je profiterai de la vie
J′irai sonner chez toi la nuit
J'aurai trop bu mais je rirai
Et jaloux tu feras pire
Tout jusqu'au lever du jour
Jamais il n′y aura de toujours
Je t′ai perdu parfois mon frère
Et les heures défilent et courent
Pire que pendant les concerts
Toujours plus de fous de folies
On voudrait changer de façon
Tes yeux bleus se noie dans le gris
Moi je porte le noir sur le front
Mon frère le monde est devenu fou
Quand je ferme les yeux je te vois
Restons les enfants qu'on fait de nous
Le vent se lève mais moi je ne bougerai pas
Writer(s): Pauline Rambeau De Baralon Lyrics powered by www.musixmatch.com