Geindre Songtext
von Pigalle
Geindre Songtext
Dès le matin devant le café quotidien
Il pleure ses malheurs au barman du coin
En dehors de ses propres déboires
Il fait le catalogue des injustices du terroir
Le sucre fondu, il évoque toutes les misères du monde
Alors elle lui prends doucement la main
Lui dit droit dans les yeux
Que c′est bien trop peu
Que de se plaindre, de geindre
Elle lui dit ...
Soit autre chose mon cur, que spectateur
Vivre est un cul de sac hypocondriaque
Anonne-t-il devant son petit armagnac
Comment digérer le midi quand on se dit
Qu'à l′autre bout de la terre, on se cale d'un seul grain de riz
Mais sa serviette n'éponge, dit-il, pas ses dettes
Alors elle lui prends doucement la main
Lui dit droit dans les yeux
Que c′est bien trop peu
Que de se plaindre, de geindre
Soit autre chose mon cur, que spectateur
Le pyjama ne stoppe pas les tracas
Maugréer au lit horizontalise les soucis
Tête dans l′oreiller, les yeux au plafond
Il déplore l'état des haies que sautent les moutons
Fallait-il naître? s′interroge-t-il.
Alors elle lui prends doucement la main
Lui dit droit dans les yeux
Que c'est bien trop peu
Que de se plaindre, de geindre
Soit autre chose mon cur, que spectateur.
Il pleure ses malheurs au barman du coin
En dehors de ses propres déboires
Il fait le catalogue des injustices du terroir
Le sucre fondu, il évoque toutes les misères du monde
Alors elle lui prends doucement la main
Lui dit droit dans les yeux
Que c′est bien trop peu
Que de se plaindre, de geindre
Elle lui dit ...
Soit autre chose mon cur, que spectateur
Vivre est un cul de sac hypocondriaque
Anonne-t-il devant son petit armagnac
Comment digérer le midi quand on se dit
Qu'à l′autre bout de la terre, on se cale d'un seul grain de riz
Mais sa serviette n'éponge, dit-il, pas ses dettes
Alors elle lui prends doucement la main
Lui dit droit dans les yeux
Que c′est bien trop peu
Que de se plaindre, de geindre
Soit autre chose mon cur, que spectateur
Le pyjama ne stoppe pas les tracas
Maugréer au lit horizontalise les soucis
Tête dans l′oreiller, les yeux au plafond
Il déplore l'état des haies que sautent les moutons
Fallait-il naître? s′interroge-t-il.
Alors elle lui prends doucement la main
Lui dit droit dans les yeux
Que c'est bien trop peu
Que de se plaindre, de geindre
Soit autre chose mon cur, que spectateur.
Writer(s): Francois Hadji Lazaro Lyrics powered by www.musixmatch.com