Ça bergers Songtext
von Passe‐Partout
Ça bergers Songtext
Çà, bergers, assemblons-nous,
Allons voir le Messie;
Cherchons cet enfant si doux,
Dans les bras de Marie:
Je l′entends, il nous appelle tous:
Ô sort digne d'envie!
Laissons là tout le troupeau;
Qu′il erre à l'aventure:
Que sans nous sur ce coteau,
Il cherche sa pâture;
Allons voir dans un petit berceau,
L'auteur de la nature
Que l′hiver par ses frimas,
Ait endurci la plaine;
S′il croit arrêter nos pas,
Cette espérance est vaine;
Quand on cherche un Dieu rempli d'appas,
On ne craint point de peine.
Sous la forme d′un mortel,
C'est un Dieu qui se cache;
Du sein du Père éternel
Son tendre amour l′arrache;
En victime il se livre à l'autel,
C′est un agneau sans tache.
Faisons retentir les airs
Du son de nos musettes,
Accordons, dans nos concerts,
Timballes et trompettes;
Célébrons le Roi de l'univers,
Il est dans nos retraites.
Sa naissance sur ces bords
Ramène l'allégresse:
Répondons par nos transports,
À l′ardeur qui le presse;
Secondons de nouveaux efforts,
L′excès de sa tendresse.
Nous voici près du séjour
Qu'il a pris pour asile;
C′est ici que son amour
Nous fait un sort tranquille;
Ce village vaut, en ce grand jour,
La plus superbe ville.
Qu'il est beau! Qu′il est charmant!
De quel éclat il brille!
Joseph passe vainement
Pour le chef de famille;
Le vrai Père est dans le firmament,
La Mère est une fille.
Dieu naissant, exauce-nous,
Dissipe nos alarmes;
Nous tombons à tes genoux,
Nous les baignons des larmes.
Hâte-toi de nous donner à tous
La paix et tous ses charmes.
Allons voir le Messie;
Cherchons cet enfant si doux,
Dans les bras de Marie:
Je l′entends, il nous appelle tous:
Ô sort digne d'envie!
Laissons là tout le troupeau;
Qu′il erre à l'aventure:
Que sans nous sur ce coteau,
Il cherche sa pâture;
Allons voir dans un petit berceau,
L'auteur de la nature
Que l′hiver par ses frimas,
Ait endurci la plaine;
S′il croit arrêter nos pas,
Cette espérance est vaine;
Quand on cherche un Dieu rempli d'appas,
On ne craint point de peine.
Sous la forme d′un mortel,
C'est un Dieu qui se cache;
Du sein du Père éternel
Son tendre amour l′arrache;
En victime il se livre à l'autel,
C′est un agneau sans tache.
Faisons retentir les airs
Du son de nos musettes,
Accordons, dans nos concerts,
Timballes et trompettes;
Célébrons le Roi de l'univers,
Il est dans nos retraites.
Sa naissance sur ces bords
Ramène l'allégresse:
Répondons par nos transports,
À l′ardeur qui le presse;
Secondons de nouveaux efforts,
L′excès de sa tendresse.
Nous voici près du séjour
Qu'il a pris pour asile;
C′est ici que son amour
Nous fait un sort tranquille;
Ce village vaut, en ce grand jour,
La plus superbe ville.
Qu'il est beau! Qu′il est charmant!
De quel éclat il brille!
Joseph passe vainement
Pour le chef de famille;
Le vrai Père est dans le firmament,
La Mère est une fille.
Dieu naissant, exauce-nous,
Dissipe nos alarmes;
Nous tombons à tes genoux,
Nous les baignons des larmes.
Hâte-toi de nous donner à tous
La paix et tous ses charmes.
Writer(s): Michel Georges Robidoux Lyrics powered by www.musixmatch.com