Les aventuriers Songtext
von Marc Robine
Les aventuriers Songtext
Tout au nord du quartier ouest
Abritées par de hauts murs gris
Il y a les aciéries
Ou plutôt ce qu′il en reste
Car on ne voit plus de fumée au-dessus des cheminées
Plus de rumeurs de machine dans les couloirs de l'usine
Les seuls bruits que j′entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Accroché au grand portail
Il y a un écriteau
Dont la vieille peinture s'écaille
Fermeture
Plus de boulot
Et on ne voit jamais d'enfants
Dans les ruelles du quartier
À peine quelques passants
Qui se hâtent de rentrer
Et les seuls bruits que j′entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Quelques vieux dans un café
Sur un tapis de cartes usées
Bien mis à bout de leur journée
À petit coup de blanc limé
Ils parlent comme sans y penser
À demi-mot, à demi-pleur
Des jeunes qui s′en sont allés ailleurs
Monnayaient leur sueur
Et les seuls bruits que j'entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Sur le faux-bourg de temps en temps
Se glisse l′appel d'une cloche
Ça n′est jamais pour une noce
Y a plus que des enterrements
Alors autour des tables on boit
Pour que les vides ne se voient pas
Ils parlent de se mettre à l'aise
Et ils espacent un peu les chaises
Et les seuls bruits que j′entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Oh, les seuls bruits que j'entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Tout au nord du quartier ouest
Abritées par de hauts murs gris
Il y a les aciéries
Ou plutôt ce qu'il en reste
Car on ne voit jamais d′enfants
Dans les ruelles du quartier
À peine quelques passants
Qui se hâtent de passer
Et les seuls bruits que j′entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Oh, les seuls bruits que j'entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Abritées par de hauts murs gris
Il y a les aciéries
Ou plutôt ce qu′il en reste
Car on ne voit plus de fumée au-dessus des cheminées
Plus de rumeurs de machine dans les couloirs de l'usine
Les seuls bruits que j′entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Accroché au grand portail
Il y a un écriteau
Dont la vieille peinture s'écaille
Fermeture
Plus de boulot
Et on ne voit jamais d'enfants
Dans les ruelles du quartier
À peine quelques passants
Qui se hâtent de rentrer
Et les seuls bruits que j′entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Quelques vieux dans un café
Sur un tapis de cartes usées
Bien mis à bout de leur journée
À petit coup de blanc limé
Ils parlent comme sans y penser
À demi-mot, à demi-pleur
Des jeunes qui s′en sont allés ailleurs
Monnayaient leur sueur
Et les seuls bruits que j'entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Sur le faux-bourg de temps en temps
Se glisse l′appel d'une cloche
Ça n′est jamais pour une noce
Y a plus que des enterrements
Alors autour des tables on boit
Pour que les vides ne se voient pas
Ils parlent de se mettre à l'aise
Et ils espacent un peu les chaises
Et les seuls bruits que j′entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Oh, les seuls bruits que j'entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Tout au nord du quartier ouest
Abritées par de hauts murs gris
Il y a les aciéries
Ou plutôt ce qu'il en reste
Car on ne voit jamais d′enfants
Dans les ruelles du quartier
À peine quelques passants
Qui se hâtent de passer
Et les seuls bruits que j′entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Oh, les seuls bruits que j'entends
Ce sont les longues plaintes du vent
Qui se cogne dans le soir
Contre les murs sans mémoire
Writer(s): Marc Paul Robine Lyrics powered by www.musixmatch.com