L'errance Songtext
von Marc Robine
L'errance Songtext
Parfois je repasse par hasard
Dans une ville où j′ai habité
Mais c'est toujours dix ans trop tard
Et je n′y suis qu'en étranger
Les gens que j'aime et qui m′aimaient
Ont tellement changé de vie
Certains sont morts, d′autres partis
Et je ne suis qu'un étranger
Je retourne dans mon quartier
J′y croise des gens, des regards
Qui glissent sur moi sans me voir
Regarde-t-on les étrangers?
Derrière ma porte
Derrière ma porte, il y a des rires, des cris d'enfants
Et mes souvenirs ne pèsent rien contre le temps
Derrière ma porte
Il y a des rires, des cris d′enfants
Et mes souvenirs ne pèsent rien contre le temps
Il est des villes comme des phares
Veillant au bord de ma mémoire
Les yeux fermés, je sais par coeur
Leurs bruits, leur fièvre, leurs couleurs
Pourtant je ne reconnais plus
La vieille rumeur de ma rue
Le marchand de vin est fermé
Et je ne suis qu'un étranger
Derrière ma porte
Derrière ma porte, il y a des rires, des cris d′enfants
Et mes souvenirs ne pèsent rien contre le temps
Derrière ma porte
Il y a des rires, des cris d'enfants
Et mes souvenirs ne pèsent rien contre le temps
On gaspille son innocence
À tant traîner les trains, les bars
Et c'est ainsi que vient l′errance
Ainsi que l′on se désempare
Alors, je vais chanter ce soir
Pour vos sourires, là, dans le noir
Mais si l'on se croisait demain
Qui viendrait me tendre la main?
Ah, si l′on se croisait demain
Qui viendrait me tendre la main?
Dans une ville où j′ai habité
Mais c'est toujours dix ans trop tard
Et je n′y suis qu'en étranger
Les gens que j'aime et qui m′aimaient
Ont tellement changé de vie
Certains sont morts, d′autres partis
Et je ne suis qu'un étranger
Je retourne dans mon quartier
J′y croise des gens, des regards
Qui glissent sur moi sans me voir
Regarde-t-on les étrangers?
Derrière ma porte
Derrière ma porte, il y a des rires, des cris d'enfants
Et mes souvenirs ne pèsent rien contre le temps
Derrière ma porte
Il y a des rires, des cris d′enfants
Et mes souvenirs ne pèsent rien contre le temps
Il est des villes comme des phares
Veillant au bord de ma mémoire
Les yeux fermés, je sais par coeur
Leurs bruits, leur fièvre, leurs couleurs
Pourtant je ne reconnais plus
La vieille rumeur de ma rue
Le marchand de vin est fermé
Et je ne suis qu'un étranger
Derrière ma porte
Derrière ma porte, il y a des rires, des cris d′enfants
Et mes souvenirs ne pèsent rien contre le temps
Derrière ma porte
Il y a des rires, des cris d'enfants
Et mes souvenirs ne pèsent rien contre le temps
On gaspille son innocence
À tant traîner les trains, les bars
Et c'est ainsi que vient l′errance
Ainsi que l′on se désempare
Alors, je vais chanter ce soir
Pour vos sourires, là, dans le noir
Mais si l'on se croisait demain
Qui viendrait me tendre la main?
Ah, si l′on se croisait demain
Qui viendrait me tendre la main?
Writer(s): Marc Paul Robine Lyrics powered by www.musixmatch.com