Le temps presse Songtext
von Les Shades
Le temps presse Songtext
Je tue, je cours, je saute, je vole, plus de directions, aucune.
Vers nulle part sans doute ni département ni commune.
Je me fous de la voie lactée car je suis et je serai seul dans ma mort.
Dans la vie, n′y arrive que ceux qui veulent puis ils s'effacent.
S′évaporent et finissent dans le ciel, comme de vulgaires châteaux de sable
Que l'on aurait construit la veille.
Je crie: "Rien ne reste jamais pareil, j'aurai préféré de ne pas naître!"
En bas en haut tu payes, pour trouver ta raison d′être.
J′aurais bien voulu vivre dans la joie et l'allégresse,
Mais j′ai pris le chemin du sang, des larmes et de l'ivresse,
J′ai commis un milliard de pêchés je le confesse,
Je sens sa main sur mon épaule qui me caresse et le temps presse, le temps presse,
Le temps presse.
Le vent balaye les secondes comme des feuilles mortes,
Et souffle sur hier, elles s'empilent dans les rues de ma mémoire pleines de poussière.
Il n′y a pas de solutions, pas de remèdes miracles, je ne crois plus:
Au progrès, à la science mais au Spectacle.
Des lumières qui se concentrent sur moi et me rendent immense et beau,
Je vous regarderai en riant du haut de mon immense château.
Je crie: "Rien ne reste jamais pareil, j'aurais préféré de ne pas naître!"
En bas en haut tu payes, pour trouver ta raison d'être.
J′aurais ben voulu vivre dans la joie et l′allégresse,
Mais j'ai pris le chemin du sang, des larmes et de l′ivresse.
J'ai commis un milliard de pêchés je le confesse.
Je sens sa main sur mon épaule qui me caresse et e temps presse, le temps presse,
Le temps presse.
Vers nulle part sans doute ni département ni commune.
Je me fous de la voie lactée car je suis et je serai seul dans ma mort.
Dans la vie, n′y arrive que ceux qui veulent puis ils s'effacent.
S′évaporent et finissent dans le ciel, comme de vulgaires châteaux de sable
Que l'on aurait construit la veille.
Je crie: "Rien ne reste jamais pareil, j'aurai préféré de ne pas naître!"
En bas en haut tu payes, pour trouver ta raison d′être.
J′aurais bien voulu vivre dans la joie et l'allégresse,
Mais j′ai pris le chemin du sang, des larmes et de l'ivresse,
J′ai commis un milliard de pêchés je le confesse,
Je sens sa main sur mon épaule qui me caresse et le temps presse, le temps presse,
Le temps presse.
Le vent balaye les secondes comme des feuilles mortes,
Et souffle sur hier, elles s'empilent dans les rues de ma mémoire pleines de poussière.
Il n′y a pas de solutions, pas de remèdes miracles, je ne crois plus:
Au progrès, à la science mais au Spectacle.
Des lumières qui se concentrent sur moi et me rendent immense et beau,
Je vous regarderai en riant du haut de mon immense château.
Je crie: "Rien ne reste jamais pareil, j'aurais préféré de ne pas naître!"
En bas en haut tu payes, pour trouver ta raison d'être.
J′aurais ben voulu vivre dans la joie et l′allégresse,
Mais j'ai pris le chemin du sang, des larmes et de l′ivresse.
J'ai commis un milliard de pêchés je le confesse.
Je sens sa main sur mon épaule qui me caresse et e temps presse, le temps presse,
Le temps presse.
Writer(s): Hugo Pomarat, Harry Salomon Allouche, Victor Tamburini, Etienne Kerber, Benjamin Edouard Kerber Lyrics powered by www.musixmatch.com