Pages de ma vie Songtext
von Les Ogres de Barback
Pages de ma vie Songtext
Les mots ne fonctionnent pas autrement, ce sont des assemblages
Ça doit provoquer un certain confort, une chanson doit être confortable
J′ai laissé sur le feu des amours inachevées
Quelques larmes dans les yeux de femmes délaissées
On s'était connu trop tard, on avait terminé trop tôt
Directement au plumard, les fers en l′air sur le dos
Inachevé, je fonce et puis j'oublie
J'y pense qu′elles sont belles les amours de ma vie
J′ai laissé dans le brouillard des amitiés perdues
Des têtes brûlées d'anars, de grandes gueules de têtus
Les nuits à refaire le monde nous auront un peu lassés
Trop de fumées brunes ou blondes, trop de rhum ou pas assez
Dans le brouillard, je fonce et puis j′oublie
J'y pense qu′elles sont belles les amitiés de ma vie
J'ai laissé sur le chemin des royaumes et des domaines
Des murs que j′avais faits miens, des jardins peuplés de chênes
De grandes prisons dorées d'où je vivais paisiblement
Dont je me serais lassé, d'où je serais mort-vivant
Sur le chemin, je fonce et puis j′oublie
J′y pense qu'elles sont belles les routes de la vie
J′ai laissé de côté les couplets d'une chanson
Des rimes inachevées, des notes sans partition
Une petite chanson d′amour qui ne voulait pas sa fin
Qui m'aurait fait troubadour, chanteur ou musicien
De tous côtés, je fonce et puis j′oublie
J'y pense qu'elles sont belles les notes de la vie
J′ai laissé, abandonnés des promesses par écrit
Des mots que j′avais jurés, des actes que j'avais prédits
Des plans que je voyais sûrs et qui m′auront aveuglés
À m'y casser la figure et pouvoir m′y relever
Abandonné, je fonce et puis j'oublie
J′y pense qu'elles sont belles les promesses de la vie
J'ai retrouvé par hasard les clefs de mon paradis
Des notes sur ma guitare, une femme et des amis
Du rhum et des cigarettes, quelques rêves un peu fous
Des plans sur la comète, la chanson d′un marabout
Du rhum et des cigarettes, une histoire à dormir debout
C′est promis, demain, j'arrête, demain, je remets les bouts
Si par hasard j′y pense ben, je souris
Car je fonce vers les plus belles pages de ma vie
Pages de ma vie
Il vaut mieux douce prudence que sûr blessure
Ça doit provoquer un certain confort, une chanson doit être confortable
J′ai laissé sur le feu des amours inachevées
Quelques larmes dans les yeux de femmes délaissées
On s'était connu trop tard, on avait terminé trop tôt
Directement au plumard, les fers en l′air sur le dos
Inachevé, je fonce et puis j'oublie
J'y pense qu′elles sont belles les amours de ma vie
J′ai laissé dans le brouillard des amitiés perdues
Des têtes brûlées d'anars, de grandes gueules de têtus
Les nuits à refaire le monde nous auront un peu lassés
Trop de fumées brunes ou blondes, trop de rhum ou pas assez
Dans le brouillard, je fonce et puis j′oublie
J'y pense qu′elles sont belles les amitiés de ma vie
J'ai laissé sur le chemin des royaumes et des domaines
Des murs que j′avais faits miens, des jardins peuplés de chênes
De grandes prisons dorées d'où je vivais paisiblement
Dont je me serais lassé, d'où je serais mort-vivant
Sur le chemin, je fonce et puis j′oublie
J′y pense qu'elles sont belles les routes de la vie
J′ai laissé de côté les couplets d'une chanson
Des rimes inachevées, des notes sans partition
Une petite chanson d′amour qui ne voulait pas sa fin
Qui m'aurait fait troubadour, chanteur ou musicien
De tous côtés, je fonce et puis j′oublie
J'y pense qu'elles sont belles les notes de la vie
J′ai laissé, abandonnés des promesses par écrit
Des mots que j′avais jurés, des actes que j'avais prédits
Des plans que je voyais sûrs et qui m′auront aveuglés
À m'y casser la figure et pouvoir m′y relever
Abandonné, je fonce et puis j'oublie
J′y pense qu'elles sont belles les promesses de la vie
J'ai retrouvé par hasard les clefs de mon paradis
Des notes sur ma guitare, une femme et des amis
Du rhum et des cigarettes, quelques rêves un peu fous
Des plans sur la comète, la chanson d′un marabout
Du rhum et des cigarettes, une histoire à dormir debout
C′est promis, demain, j'arrête, demain, je remets les bouts
Si par hasard j′y pense ben, je souris
Car je fonce vers les plus belles pages de ma vie
Pages de ma vie
Il vaut mieux douce prudence que sûr blessure
Writer(s): Frederic Burguiere, Samuel Burguiere, Mathilde Burguiere, Alice Burguiere Lyrics powered by www.musixmatch.com