Province Paris Songtext
von Les Garçons Bouchers
Province Paris Songtext
Quand il débarqua à Paris
Il croyait encore à la grande aventure
Les lumières et les flonflons
C′était du vrai, pas de la littérature
Une semaine durant sur les boulevards
Il se traîna le soir les yeux grands ouverts
Et quand venait enfin la nuit, il souriait
Sa petite ville perdue dans la campagne lui paraissait si p'tite
Et lui son cœur si vaste
Pourquoi n′était-il pas venu là plus tôt?
Le pavé, la Seine, et le périf. Lui apprirent très vite la carence
Tous les jours la vie lui expliquait
Qu'tout l'monde ici n′a pas la même chance
Il y croyait encore au bout d′un an
Bien que le boulevard lui semble plus fade
Et il pensait souvent à elle, restée là-bas
Il sentait, lui le petit provincial
Qu'il portait sur son dos tout le mépris du monde
Mais il marchait toujours la tête levée haut
Pour les amis maintenant
C′était juste des ombres rencontrées dans les bars
Ses amours, c'était des yeux
Qu′on croisait dans le métro à l'occase d′un couloir
Dans sa chambre à Clichy, y avait des affiches
Des photos et puis un trombone à coulisse
Celui qui devait faire de lui le roi d'Paris
Il croyait encore à la grande aventure
Les lumières et les flonflons
C′était du vrai, pas de la littérature
Une semaine durant sur les boulevards
Il se traîna le soir les yeux grands ouverts
Et quand venait enfin la nuit, il souriait
Sa petite ville perdue dans la campagne lui paraissait si p'tite
Et lui son cœur si vaste
Pourquoi n′était-il pas venu là plus tôt?
Le pavé, la Seine, et le périf. Lui apprirent très vite la carence
Tous les jours la vie lui expliquait
Qu'tout l'monde ici n′a pas la même chance
Il y croyait encore au bout d′un an
Bien que le boulevard lui semble plus fade
Et il pensait souvent à elle, restée là-bas
Il sentait, lui le petit provincial
Qu'il portait sur son dos tout le mépris du monde
Mais il marchait toujours la tête levée haut
Pour les amis maintenant
C′était juste des ombres rencontrées dans les bars
Ses amours, c'était des yeux
Qu′on croisait dans le métro à l'occase d′un couloir
Dans sa chambre à Clichy, y avait des affiches
Des photos et puis un trombone à coulisse
Celui qui devait faire de lui le roi d'Paris
Writer(s): Francois Hadji Lazaro Lyrics powered by www.musixmatch.com