La mistrine Songtext
von La Bottine Souriante
La mistrine Songtext
Le Yiable s′en fut dans la ville de Poitiers
Et droit au moulin, pour y prendre meunier
Meunier trouva un sac assez grand
A pris le Yiable et l'a fourré dedans
L′a attaché à la meule du moulin
L'a fait virer du soir au lendemain
Le lendemain, le Yiable se fâcha
S'enfla si bien que le sac déchira
(Que le sac déchira, que le sac déchira)
(Que le sac déchira, que le sac déchira)
Puis s′en été sous les fenêtres du meunier
Viens voir ton sac, il est tout déchiré
Puis il a dit au meunier en partant
"Viens en Enfer, je t′en ferai autant"
Le Yiable s'en fut chez un tailleur
Mais ce coup-là, il eut bien du malheur
(Bien du malheur, bien du malheur)
Le tailleur, l′apercevant tout nu
Lui appliquer cinq mille aiguilles au cul
Puis s'en été tout tremblant
Avec son cul tout plein de sang
(Avec son cul tout plein de sang)
Le Yiable s′en fut chez un cabaretier
Mais ce coup-là, il fut bien attrapé
(Mais ce coup-là, il fut bien attrapé)
Cabaretier le trouva si gros
Qu'il s′est débattu de ses verres et d'ses pots
Il lui en a tant foutu sur le corps
Que je crois bien que l'animal est mort
Et droit au moulin, pour y prendre meunier
Meunier trouva un sac assez grand
A pris le Yiable et l'a fourré dedans
L′a attaché à la meule du moulin
L'a fait virer du soir au lendemain
Le lendemain, le Yiable se fâcha
S'enfla si bien que le sac déchira
(Que le sac déchira, que le sac déchira)
(Que le sac déchira, que le sac déchira)
Puis s′en été sous les fenêtres du meunier
Viens voir ton sac, il est tout déchiré
Puis il a dit au meunier en partant
"Viens en Enfer, je t′en ferai autant"
Le Yiable s'en fut chez un tailleur
Mais ce coup-là, il eut bien du malheur
(Bien du malheur, bien du malheur)
Le tailleur, l′apercevant tout nu
Lui appliquer cinq mille aiguilles au cul
Puis s'en été tout tremblant
Avec son cul tout plein de sang
(Avec son cul tout plein de sang)
Le Yiable s′en fut chez un cabaretier
Mais ce coup-là, il fut bien attrapé
(Mais ce coup-là, il fut bien attrapé)
Cabaretier le trouva si gros
Qu'il s′est débattu de ses verres et d'ses pots
Il lui en a tant foutu sur le corps
Que je crois bien que l'animal est mort
Writer(s): [traditional], Jean Fréchette, La Bottine Souriante Lyrics powered by www.musixmatch.com