Barcelone Songtext
von Jean‐Patrick Capdevielle
Barcelone Songtext
Petit Jo traîne sur le port de Barcelone
Il a veillé toute la nuit, c′est normal qu'il r′connaisse plus personne
Au-d'ssus d'la ville, il voit monter les fumées
Le trottoir est un miroir, mais Petit Jo veut pas s′regarder
Tout tangue
Il a du plomb sur la langue
Dans la chaleur de la nuit
Petit Jo vient guetter l′amnésie
Soudain y a l'poids d′une main qui s'pose sur son dos
Une voix mystérieuse murmure: "Seriez-vous le fameux Petit Jo?"
Il dit: "C′est bien comme ça qu'on m′appelle"
Et puis: "Vos nouvelles sont-elles cruelles?"
La voix répond: "Moi je passais juste par là, j'arrivais plus à dormir"
"Et mer et vent me faisaient gémir"
"Depuis plus d'un an je recherche Petit Jo"
"Pour une femme nommée Rita, toi t′as ce nom marqué dans ton dos"
"Sainte Rita!", répond Petit Jo
"J′me souviens qu'elle était belle"
"Malgré son or et malgré ses perles"
"Tu sais," dit la voix, "tes souvenirs sont ingrats"
"Je vois son ombre là-bas"
"Tu devrais parler beaucoup plus bas"
"D′ailleurs, si ma mémoire est toujours bonne"
"Elle a souvent payé pour c'qu′on lui donne"
"Écoute"
Y a toujours un carillon qui résonne
Au-d'ssus du port de Barcelone
Même si son air est monotone
Il peut pas chanter pour personne
Hmm, y a toujours un carillon qui résonne
Au-d′ssus du port de Barcelone
Petit Jo, ça l'a tant troublé cette histoire
Qu'il s′est tourné vers la voix disant "Qu′est ce qui me force à vous croire?"
"Vous m'étonnez," répondit l′autre, "et la cage"
"Où vous mettez vos souvenirs a pourtant dû garder mon image"
"C'est vrai," dit Petit Jo, "maintenant je sais qui vous êtes"
"Vous venez d′un rêve ancien, mais ma mémoire est pas toujours prête"
Ces mots résonnent sous les arcades de la gare
Quand le train du matin siffle et la voix dit "Moi j'crains d′être en r'tard"
Et puis: "Quelqu'un vous attend dans cette salle"
"Ici, faudra pardonner l′Bien comme le Mal"
Petit Jo reste là tout seul sur le quai
Sans même voir venir Rita, c′est à son parfum qu'il la r′connaît
Au-d'ssus du port, il r′garde le téléphérique
Et la statue du marin qui montre encore du doigt l'Amérique
Rita s′est approchée d'un pas, elle est venue des collines
Et sa voix lui murmure "Imagine"
"Y a dans cette ville, près des casernes de la garde"
"Un gorille blanc dans un zoo, tout seul, et ses deux yeux nous r'gardent"
Jo dit: "Ta voix sonne toujours comme avant"
Et puis: "J′ai rien su garder, mais tout s′apprend"
Y a toujours un carillon qui résonne
Au-d'ssus du port de Barcelone
Même si son air est monotone
Il peut pas chanter pour personne
Hmm, y a toujours un carillon qui résonne
Au-d′ssus du port de Barcelone
Il a veillé toute la nuit, c′est normal qu'il r′connaisse plus personne
Au-d'ssus d'la ville, il voit monter les fumées
Le trottoir est un miroir, mais Petit Jo veut pas s′regarder
Tout tangue
Il a du plomb sur la langue
Dans la chaleur de la nuit
Petit Jo vient guetter l′amnésie
Soudain y a l'poids d′une main qui s'pose sur son dos
Une voix mystérieuse murmure: "Seriez-vous le fameux Petit Jo?"
Il dit: "C′est bien comme ça qu'on m′appelle"
Et puis: "Vos nouvelles sont-elles cruelles?"
La voix répond: "Moi je passais juste par là, j'arrivais plus à dormir"
"Et mer et vent me faisaient gémir"
"Depuis plus d'un an je recherche Petit Jo"
"Pour une femme nommée Rita, toi t′as ce nom marqué dans ton dos"
"Sainte Rita!", répond Petit Jo
"J′me souviens qu'elle était belle"
"Malgré son or et malgré ses perles"
"Tu sais," dit la voix, "tes souvenirs sont ingrats"
"Je vois son ombre là-bas"
"Tu devrais parler beaucoup plus bas"
"D′ailleurs, si ma mémoire est toujours bonne"
"Elle a souvent payé pour c'qu′on lui donne"
"Écoute"
Y a toujours un carillon qui résonne
Au-d'ssus du port de Barcelone
Même si son air est monotone
Il peut pas chanter pour personne
Hmm, y a toujours un carillon qui résonne
Au-d′ssus du port de Barcelone
Petit Jo, ça l'a tant troublé cette histoire
Qu'il s′est tourné vers la voix disant "Qu′est ce qui me force à vous croire?"
"Vous m'étonnez," répondit l′autre, "et la cage"
"Où vous mettez vos souvenirs a pourtant dû garder mon image"
"C'est vrai," dit Petit Jo, "maintenant je sais qui vous êtes"
"Vous venez d′un rêve ancien, mais ma mémoire est pas toujours prête"
Ces mots résonnent sous les arcades de la gare
Quand le train du matin siffle et la voix dit "Moi j'crains d′être en r'tard"
Et puis: "Quelqu'un vous attend dans cette salle"
"Ici, faudra pardonner l′Bien comme le Mal"
Petit Jo reste là tout seul sur le quai
Sans même voir venir Rita, c′est à son parfum qu'il la r′connaît
Au-d'ssus du port, il r′garde le téléphérique
Et la statue du marin qui montre encore du doigt l'Amérique
Rita s′est approchée d'un pas, elle est venue des collines
Et sa voix lui murmure "Imagine"
"Y a dans cette ville, près des casernes de la garde"
"Un gorille blanc dans un zoo, tout seul, et ses deux yeux nous r'gardent"
Jo dit: "Ta voix sonne toujours comme avant"
Et puis: "J′ai rien su garder, mais tout s′apprend"
Y a toujours un carillon qui résonne
Au-d'ssus du port de Barcelone
Même si son air est monotone
Il peut pas chanter pour personne
Hmm, y a toujours un carillon qui résonne
Au-d′ssus du port de Barcelone
Writer(s): Jean Patrick Gaston Andre Capdevielle Lyrics powered by www.musixmatch.com