Carte bleue Songtext
von Java
Carte bleue Songtext
des années que l′équipage voguait heureux
lancé sur l'hémisphère de La Carte Bleue
il battait pavillon visa premier
frôlé par des condors argentés
des puces électronique surveillées sans mal les murailles de l′algol tressées dans les cales
poussées par le vent des marchés
la coque passait entre des récifs de chiffres carrés
jamais l'opulence n'expirait
une signature au dos de la carte suffisait
à pousser le navire loin des rades
ils avaient le code secret et la parade
là ou ils mouillaient, dans des golfes sûres, dans le calme des baies, les doigts sur le clavier,
à l′abri des regards indiscrets
l′équipage hilare faisait gicler la monnaie
des années que l'équipage voguait heureux
lancé sur l′hémisphère de La Carte Bleue
il battait pavillon visa premier
frôlé par des condors argentés
là ou ils mouillaient, dans les golfes sûres, dans le calme des baies, les doigts sur le clavier à l'abri des regards indiscrets l ′équipage hilare faisait gicler la monnaie
sur une mer d'huile bien vernis
mieux valait entretenir de bon amis
lâcher des pourliches aux institutions financière
s′entendre avec une poignée de corsaires
les navires s'offraient de royales escales
ou les hôtesses psalmodiaient le nom de capitale
dans les couloirs sans fin des tuty free
leur yeux reflétaient la couleur mate du whisky
et si le liquide manquait parfois
au passage des détroits une bande magnétique les attirait vers des brèches ultra marine crachant liasses de billets
à la coque s'accrochaient les requins galeux sans argent
ils les repoussaient à coup de rames dans les flans
en criant " à nous ce pognon, à nous ce pognon "
...sirène...
et le navire cinglait vers de plus riches océans
ou les vents soufflent à crédits illimités
hélas!
des rafales déchiquetèrent les voiles
une tempête se levait sur les places occidentales
l′équipage à découvert sous l′ouragan
voyait renflouer toutes les vagues de paiement
La Carte Bleue se fissurait à l'horizon
dans les cales les puces piquaient comme des scorpions
les condors désargentés hurlaient dans le ciel
une peur bleue leur serrait la rondelle
les membres d′équipage écopaient le liquide de La Carte Bleue
ils lançaient des sos...
les secours ignoraient leurs appels
la carte était strictement personnel ...
personnel.
lancé sur l'hémisphère de La Carte Bleue
il battait pavillon visa premier
frôlé par des condors argentés
des puces électronique surveillées sans mal les murailles de l′algol tressées dans les cales
poussées par le vent des marchés
la coque passait entre des récifs de chiffres carrés
jamais l'opulence n'expirait
une signature au dos de la carte suffisait
à pousser le navire loin des rades
ils avaient le code secret et la parade
là ou ils mouillaient, dans des golfes sûres, dans le calme des baies, les doigts sur le clavier,
à l′abri des regards indiscrets
l′équipage hilare faisait gicler la monnaie
des années que l'équipage voguait heureux
lancé sur l′hémisphère de La Carte Bleue
il battait pavillon visa premier
frôlé par des condors argentés
là ou ils mouillaient, dans les golfes sûres, dans le calme des baies, les doigts sur le clavier à l'abri des regards indiscrets l ′équipage hilare faisait gicler la monnaie
sur une mer d'huile bien vernis
mieux valait entretenir de bon amis
lâcher des pourliches aux institutions financière
s′entendre avec une poignée de corsaires
les navires s'offraient de royales escales
ou les hôtesses psalmodiaient le nom de capitale
dans les couloirs sans fin des tuty free
leur yeux reflétaient la couleur mate du whisky
et si le liquide manquait parfois
au passage des détroits une bande magnétique les attirait vers des brèches ultra marine crachant liasses de billets
à la coque s'accrochaient les requins galeux sans argent
ils les repoussaient à coup de rames dans les flans
en criant " à nous ce pognon, à nous ce pognon "
...sirène...
et le navire cinglait vers de plus riches océans
ou les vents soufflent à crédits illimités
hélas!
des rafales déchiquetèrent les voiles
une tempête se levait sur les places occidentales
l′équipage à découvert sous l′ouragan
voyait renflouer toutes les vagues de paiement
La Carte Bleue se fissurait à l'horizon
dans les cales les puces piquaient comme des scorpions
les condors désargentés hurlaient dans le ciel
une peur bleue leur serrait la rondelle
les membres d′équipage écopaient le liquide de La Carte Bleue
ils lançaient des sos...
les secours ignoraient leurs appels
la carte était strictement personnel ...
personnel.
Writer(s): Francois Xavier Bossard, Alexandre Kaufmann Lyrics powered by www.musixmatch.com