Le temps d'un hiver Songtext
von Iraka
Le temps d'un hiver Songtext
J′ai gardé près du corps un morceau de toi
Un morceau de ma vie, le temps d'un hiver
Fin décembre pleuvait sur les sombres toits
Tu n′étais pas encore dans mon univers
Les lumières noires sur les autos
La fête d'anniversaire chez Momo
Ton regard vert qui m'a planté
Le premier geste, le premier mot
Ma première main au bas de ton dos
Puis le matin qui s′est levé
Quand le soir me permet un peu de calme
Je repense très souvent à ce temps d′un hiver
Février avait figé au dessus des toits
La ville qui bordait notre univers
La buée fine sur le carreau
L'odeur mélangée des draps chauds
Les journées sans jour à parler
Les sorties le soir au Mundo
Le retour par les rues fantômes
Le canapé où tu jouissais
Après tout je m′en fous de toute cette histoire
Pourquoi tant revivre ce temps d'un hiver?
Mars bourgeonnait au dessus des toits
Sans le moindre égard pour notre univers
Le soleil voilé qui transperce
Le cuir délavé de ma veste
Mon sac est trop lourd pour ce quai
Les premiers pourquoi qui me traversent
Le train qui file en fendant l′averse
Et puis la vie a continué
Et j'ai gardé près du corps un morceau de toi.
Un morceau de ma vie, le temps d'un hiver
Fin décembre pleuvait sur les sombres toits
Tu n′étais pas encore dans mon univers
Les lumières noires sur les autos
La fête d'anniversaire chez Momo
Ton regard vert qui m'a planté
Le premier geste, le premier mot
Ma première main au bas de ton dos
Puis le matin qui s′est levé
Quand le soir me permet un peu de calme
Je repense très souvent à ce temps d′un hiver
Février avait figé au dessus des toits
La ville qui bordait notre univers
La buée fine sur le carreau
L'odeur mélangée des draps chauds
Les journées sans jour à parler
Les sorties le soir au Mundo
Le retour par les rues fantômes
Le canapé où tu jouissais
Après tout je m′en fous de toute cette histoire
Pourquoi tant revivre ce temps d'un hiver?
Mars bourgeonnait au dessus des toits
Sans le moindre égard pour notre univers
Le soleil voilé qui transperce
Le cuir délavé de ma veste
Mon sac est trop lourd pour ce quai
Les premiers pourquoi qui me traversent
Le train qui file en fendant l′averse
Et puis la vie a continué
Et j'ai gardé près du corps un morceau de toi.
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