Feeling Songtext
von IAM
Feeling Songtext
Feeling, on fait ça pour l′amour de notre musique
DJ Mehdi, one love
Depuis l'époque des chewing collés au bureau, des babys à la cafet′
Des soirées ghetto, des freestyles sur les cassettes
Feeling sur les platines, place nette
Quand il s'agit de rimes vraies, souvent on pense à ma team
On a connu des heures cool, d'autres dramatiques
Pour devenir le mouvemеnt d′un quartier apathique
Et la pressе définit ce qui nous ressemble
Loin de ce qui nous divise, on se concentre sur ce qui nous rassemble
On fait une bonne famille imparfaite
Élevés en cachette, survit au déluge comme Japhet
Aux frangins qui le sont restés one love
À tous nos proches qui ont supporté tant de choses
Ceux qui sont partis seraient si fiers de nous voir
On pousse pour le groove, sans course pour le pouvoir
Séparés des cieux par un kufi
Quand tout file entre les doigts, pour eux, le rap n′est qu'un spoof movie
Et faut l′dire, on n'est pas à l′usine
Même si l'industrie du disque tourne comme une boite à musique
Tout est dit après le tour de manivelle
Et nous, pleins de rêves, on écrit "Manifeste"
Ils coincent nos vies dans les pinces de la crise
Mais de crapauds du quartier on est devenus princes de la ville
Notre idéal est loin du profil gang-banger
On pète les tronches avec le cœur, headbanger
(Headbanger, headbanger...)
Quatre minutes de bonheur gravées sur un disque de platine
Une foule qui lève les bras, sentir son énergie qui crépite
Au-delà de toute frontière, napper la sphère d′une belle mélodie
Et redonner le sourire aux nôtres, même les plus maudits
Nos vies ne tiennent qu'à un sillon, c'est plus dur que le fil
Nos skeuds sont tout comme nous, parfois ils pleurent, parfois ils rient
Débarqués à leur table, armés de mots et de franchise
On a dû repartir, on mange pas vraiment la même cuisine
Leur monde est chiant, le nôtre est fait de lumière, de musique
D′échanges, d′ouverture d'esprit, d′instants qui n'ont aucun prix
Tellement de cœurs pour un seul rythme
Écoute-les battre, leur son est frais et regarde-le s′étaler sur la map
Nés sur une scène ouverte, aujourd'hui dans les clubs classes
Dure fut la route et sans nul doute elle a laissé des traces
Elle continue à nous entraîner dans ses frasques
Pavée de phrases, de celles que rien pas même le temps n′efface
Finis les "wesh" et les "yo-yo", les clichés insipides
On revendique le droit à l'art de création massive
Mic 'à la main et si Lui là-haut le veut
On fera retentir nos voix d′ici-bas jusqu′aux Cieux
Yeah, yeah
Alors écoute bien c'que j′dis (ouais écoute bien c'que j′dis, ouais, han)
Rien de grave et rien d'écrit ici (rien de grave et rien d′écrit, nan)
Et si l'on doit vivre à tout prix, yeah, yeah, yeah (et si l'on doit vivre, on doit ouais)
On jette les mots vers l′infini (on les jette, on les jette)
Alors écoute bien c′que j'dis (ouais; écoute bien; ouais, écoute)
Rien de grave et rien d′écrit ici (nan, rien de grave nan)
Et si l'on doit vivre à tout prix; yeah, yeah, yeah (et si l′on doit vivre à tout prix)
On jette les mots vers l'infini (on jette, on jette les mots vers l′infini, han)
DJ Mehdi, one love
Depuis l'époque des chewing collés au bureau, des babys à la cafet′
Des soirées ghetto, des freestyles sur les cassettes
Feeling sur les platines, place nette
Quand il s'agit de rimes vraies, souvent on pense à ma team
On a connu des heures cool, d'autres dramatiques
Pour devenir le mouvemеnt d′un quartier apathique
Et la pressе définit ce qui nous ressemble
Loin de ce qui nous divise, on se concentre sur ce qui nous rassemble
On fait une bonne famille imparfaite
Élevés en cachette, survit au déluge comme Japhet
Aux frangins qui le sont restés one love
À tous nos proches qui ont supporté tant de choses
Ceux qui sont partis seraient si fiers de nous voir
On pousse pour le groove, sans course pour le pouvoir
Séparés des cieux par un kufi
Quand tout file entre les doigts, pour eux, le rap n′est qu'un spoof movie
Et faut l′dire, on n'est pas à l′usine
Même si l'industrie du disque tourne comme une boite à musique
Tout est dit après le tour de manivelle
Et nous, pleins de rêves, on écrit "Manifeste"
Ils coincent nos vies dans les pinces de la crise
Mais de crapauds du quartier on est devenus princes de la ville
Notre idéal est loin du profil gang-banger
On pète les tronches avec le cœur, headbanger
(Headbanger, headbanger...)
Quatre minutes de bonheur gravées sur un disque de platine
Une foule qui lève les bras, sentir son énergie qui crépite
Au-delà de toute frontière, napper la sphère d′une belle mélodie
Et redonner le sourire aux nôtres, même les plus maudits
Nos vies ne tiennent qu'à un sillon, c'est plus dur que le fil
Nos skeuds sont tout comme nous, parfois ils pleurent, parfois ils rient
Débarqués à leur table, armés de mots et de franchise
On a dû repartir, on mange pas vraiment la même cuisine
Leur monde est chiant, le nôtre est fait de lumière, de musique
D′échanges, d′ouverture d'esprit, d′instants qui n'ont aucun prix
Tellement de cœurs pour un seul rythme
Écoute-les battre, leur son est frais et regarde-le s′étaler sur la map
Nés sur une scène ouverte, aujourd'hui dans les clubs classes
Dure fut la route et sans nul doute elle a laissé des traces
Elle continue à nous entraîner dans ses frasques
Pavée de phrases, de celles que rien pas même le temps n′efface
Finis les "wesh" et les "yo-yo", les clichés insipides
On revendique le droit à l'art de création massive
Mic 'à la main et si Lui là-haut le veut
On fera retentir nos voix d′ici-bas jusqu′aux Cieux
Yeah, yeah
Alors écoute bien c'que j′dis (ouais écoute bien c'que j′dis, ouais, han)
Rien de grave et rien d'écrit ici (rien de grave et rien d′écrit, nan)
Et si l'on doit vivre à tout prix, yeah, yeah, yeah (et si l'on doit vivre, on doit ouais)
On jette les mots vers l′infini (on les jette, on les jette)
Alors écoute bien c′que j'dis (ouais; écoute bien; ouais, écoute)
Rien de grave et rien d′écrit ici (nan, rien de grave nan)
Et si l'on doit vivre à tout prix; yeah, yeah, yeah (et si l′on doit vivre à tout prix)
On jette les mots vers l'infini (on jette, on jette les mots vers l′infini, han)
Writer(s): Philippe Tristan Fragione, Geoffroy Mussard, Eric Mazel, Laurent Attal, Amine Abbas Lyrics powered by www.musixmatch.com