L’aube Songtext
von HIBA

Comment ça, moi, j′ai déconné,
Dis-moi qui nous deux est honnête
Quand je pense à toi y a que du tonnerre,
Comme pour plus te téléphoner
Comment ça, moi, j'ai déconné,
Dis-moi qui nous deux est honnête
Quand je pense à toi y a que du tonnerre,
Comme pour plus


Je ressens le froid
Le froid, des lettres, que j′ai choisi, pour te décrire,
Mais loin de moi,
Mais loin de moi, l'idée d'y prendre un sale plaisir
T′avais le choix,
Je l′avais aussi
Comme l'impression, qu′on aime à croire que l'on ne décide pas
L′aube de tes seins
Me rend si petit
Si t'es le pétrole, je suis le président d′Amérique,
Oh même si,
Tu pars, (tu pars)
Je resterai sur,
Mes gardes, (mes gardes)
Oh même si,
Tu pars, (tu pars)
Je resterai sur,
Mes gardes, (mes gardes)

Cette capacité là, à me détruire en un regard
Pour nos cœurs déchirés, ce sera le dernier naufrage,
Je pleure les rues d'amour, qd j'y vois c′qui maintenant s′y passe
La pluie a pris sa place et noie ce qui reste sans relâche,


Je pense à toi toujours à l'Aube
Jfrissone quand j′entends allô
Tu peux mquitter pour une faute
Mais stp pas pour un autre
Et jtai aimé comme un con
Mais jtrouve ça très intelligent
On a fait ça sans un son
Comme si c'était une évidence
Jvois que le contraire dans les rues de ma ville
Comme si la pluie se transformer en acide
Mon coeur et la température srefroidissent
Sur mon avenue comme un vent de panique
Peut être c′est moi quabuses c'est vrai
Y avait pas ma haine sur le CV
Ouais refré si tu savais
Cqui spasse quand jte dit ça va
Aujourd′hui jm'adapte
Ahlala
Trop dchoses pour un seul homme
Comment ça
Bien sûr qujsuis insolent
Si j'abandonne
Alors jfinis solo
Mais nannannan
Jveux pas entendre ça date
Ahlala
Trop dchoses pour un seul homme
Comment ça
Bien sûr qujsuis insolent
Si j′abandonne
Alors jfinis solo
Mais nannannan
Jveux pas entendre ça date

Cette capacité là, à me détruire en un regard
Pour nos cœurs déchirés, ce sera le dernier naufrage,
Je pleure les rues d′amour, qd j'y vois c′qui maintenant s'y passe
La pluie a pris sa place et noie ce qui reste sans relâche,