Les Femmes Songtext
von Henri Tachan
Les Femmes Songtext
Les femmes elles vivent
Elles ne rêvent pas
Elles sont la chaux vive
Ou le sable gras
Elles sont comme la terre
Qu′on arrosera
Elles donnent des parterres
De fleurs pour nos bras
Ah oui les femmes elles sont agraires
Ah oui les femmes sont terre-à-terre
Mais que j'en sois une tantôt
On ne m′arros'ra jamais trop
Les femmes elles attendent
Elles ne chassent pas
Les femmes elles défendent
Leurs tendres appâts
Et quand elles gémissent
Sur un bout de plage
Elles disent qu'elles subissent
Les derniers outrages
Ah oui les femmes, elles jouent la farce
Ah oui les femmes, elles jouent les garces
Mais qu′j′en sois une l'année prochaine
J′s'rai encore meilleure comédienne
Les femmes on voudrait
Qu′elles se souviennent
Des semaines après
De cette heure ancienne
Où elles murmuraient
Je t'aime mon chéri
Mais les femmes c′est vrai
Les femmes ça oublie
Ah oui les femmes elles sont futiles
Ah oui les femmes sont versatiles
Mais qu'j'en sois une un peu plus tard
J′aurai encore moins de mémoire
Les femmes elles résistent
Elles ne cèdent pas
Au premier service
À la deuxième fois
Mais quand elles rougissent
En ouvrant leurs draps
V′là qu'elles comptent dix
Quand j′arrête à trois
Ah oui les femmes elles sont lascives
Ah oui les femmes sont excessives
Mais qu'j′en sois une avant ma mort
Moi je battrai tous les records
Les femmes elles grignotent
Le bout de nos ailes
Les femmes elles trottent
Dans notre cervelle
Mais quand elles nous rendent
Plus fous que des bêtes
Les femmes elles nous tendent
L'habit de poète
Ah oui les femmes ces Méduses
Sont nos impitoyables Muses
Mais qu′j'en sois une après mes cendres
Je serai bien pire que Cassandre
Les femmes elles voudraient
Ne pas être comme ça
Les femmes elles voudraient
Mais elles ne peuvent pas
Les femmes c'est vrai
Pleurent ce qu′elles n′ont pas
Car les femmes auraient
Voulu être des gars
Alors j'leur donne c′qui les complète
Et à chaque amour je m'répète
Qu′j'aurais pu être corbeau à Rome
Ou blanc pastoureau à Sodome
Et qu′en fin de compte les vrais hommes
Sont ceux qui n'leur jettent pas la pomme
Elles ne rêvent pas
Elles sont la chaux vive
Ou le sable gras
Elles sont comme la terre
Qu′on arrosera
Elles donnent des parterres
De fleurs pour nos bras
Ah oui les femmes elles sont agraires
Ah oui les femmes sont terre-à-terre
Mais que j'en sois une tantôt
On ne m′arros'ra jamais trop
Les femmes elles attendent
Elles ne chassent pas
Les femmes elles défendent
Leurs tendres appâts
Et quand elles gémissent
Sur un bout de plage
Elles disent qu'elles subissent
Les derniers outrages
Ah oui les femmes, elles jouent la farce
Ah oui les femmes, elles jouent les garces
Mais qu′j′en sois une l'année prochaine
J′s'rai encore meilleure comédienne
Les femmes on voudrait
Qu′elles se souviennent
Des semaines après
De cette heure ancienne
Où elles murmuraient
Je t'aime mon chéri
Mais les femmes c′est vrai
Les femmes ça oublie
Ah oui les femmes elles sont futiles
Ah oui les femmes sont versatiles
Mais qu'j'en sois une un peu plus tard
J′aurai encore moins de mémoire
Les femmes elles résistent
Elles ne cèdent pas
Au premier service
À la deuxième fois
Mais quand elles rougissent
En ouvrant leurs draps
V′là qu'elles comptent dix
Quand j′arrête à trois
Ah oui les femmes elles sont lascives
Ah oui les femmes sont excessives
Mais qu'j′en sois une avant ma mort
Moi je battrai tous les records
Les femmes elles grignotent
Le bout de nos ailes
Les femmes elles trottent
Dans notre cervelle
Mais quand elles nous rendent
Plus fous que des bêtes
Les femmes elles nous tendent
L'habit de poète
Ah oui les femmes ces Méduses
Sont nos impitoyables Muses
Mais qu′j'en sois une après mes cendres
Je serai bien pire que Cassandre
Les femmes elles voudraient
Ne pas être comme ça
Les femmes elles voudraient
Mais elles ne peuvent pas
Les femmes c'est vrai
Pleurent ce qu′elles n′ont pas
Car les femmes auraient
Voulu être des gars
Alors j'leur donne c′qui les complète
Et à chaque amour je m'répète
Qu′j'aurais pu être corbeau à Rome
Ou blanc pastoureau à Sodome
Et qu′en fin de compte les vrais hommes
Sont ceux qui n'leur jettent pas la pomme
Writer(s): Jean Paul Marie Roseau, Henri Tachan Lyrics powered by www.musixmatch.com