Chèques vacances Songtext
von Gwendoline
Chèques vacances Songtext
Mon parquet sale commence à craquer
J′ai l'sentiment d′être observé comme un fantôme noir
Je me rue à l'interphone
Mon pot de fleurs commence à glisser
J'entends toujours leurs cris de folles
J′entends toujours mes acouphènes
Je vais sortir, enfin
Peut-être, dérober ton chagrin
Les marches tremblantes, j′ai cru croiser une tombe devant chez moi
C'était simplement un miroir visant
Visant mon regard si froid
Depuis quatre ans, je n′ai pas vu
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Invitation dans un bar tout pété
Un coin à lascars malfamés
J'croise mon voisin sur le palier
Envie de s′immoler comme une envie de pisser
Puis la concierge au premier
Toujours plus conne et mal-baisée
Obligé de te toucher pour te parler comme un chien, à te renifler
À peine passé la porte donnant sur la rue
Les sirènes retentissent d'un même cri fasciste
Et le regard tue, ce qu′il me reste d'humaniste
Blasé comme un goret en manque de sexe
Une virée en forêt devient une question de vie ou de mort
Entre deux bâtiments, coincé dans deux garde-fous
Mon regard se porte sur mes paupières vides
L'arme absolue n′existe pas
J′ai juste mon sperme en guise de jet pour les faire taire dans le rejet
Dans un trou noir, j'ai vu ma mort
C′était si beau, mais trop hardcore
On s'croirait à Disneyland (on s′croirait à Disneyland)
(Ma propre ville) ma propre ville (ma propre ville)
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
J′ai l'sentiment d′être observé comme un fantôme noir
Je me rue à l'interphone
Mon pot de fleurs commence à glisser
J'entends toujours leurs cris de folles
J′entends toujours mes acouphènes
Je vais sortir, enfin
Peut-être, dérober ton chagrin
Les marches tremblantes, j′ai cru croiser une tombe devant chez moi
C'était simplement un miroir visant
Visant mon regard si froid
Depuis quatre ans, je n′ai pas vu
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Invitation dans un bar tout pété
Un coin à lascars malfamés
J'croise mon voisin sur le palier
Envie de s′immoler comme une envie de pisser
Puis la concierge au premier
Toujours plus conne et mal-baisée
Obligé de te toucher pour te parler comme un chien, à te renifler
À peine passé la porte donnant sur la rue
Les sirènes retentissent d'un même cri fasciste
Et le regard tue, ce qu′il me reste d'humaniste
Blasé comme un goret en manque de sexe
Une virée en forêt devient une question de vie ou de mort
Entre deux bâtiments, coincé dans deux garde-fous
Mon regard se porte sur mes paupières vides
L'arme absolue n′existe pas
J′ai juste mon sperme en guise de jet pour les faire taire dans le rejet
Dans un trou noir, j'ai vu ma mort
C′était si beau, mais trop hardcore
On s'croirait à Disneyland (on s′croirait à Disneyland)
(Ma propre ville) ma propre ville (ma propre ville)
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
Tout va bien, cet été
Chèques vacances, chèques vacances
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