La terre, je la dévore Songtext
von Georgio
La terre, je la dévore Songtext
Combien ont pris les paradis artificiels pour tremplin?
Je cherche à combler l'vide ou à évacuer le trop plein
J'fais que culpabiliser en regardant c'temps de chien
J'rêve d'être sourd pour n'plus entendre aboyer mes frangins
Chaque jour la même rengaine
J'en veut à la terre entière
J'ai ce manque d'oxygène qui me fait angoisser
On d'vient des solitaires drogués aux somnifères
J'reste un sortilège, un esprit indompté
Avant d'essayer d'combattre les autres, bats toi
Contre toi et toi seulement, bats toi
Contre vents et marées c'est plus possible
Personne peut nous empêcher de sortir de nos chrysalides
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant que l'monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Faut être plus fort que les murs qui s'construisent autour de nous
Près des fous, perverti par l'idée de faire des sous
J'les vois douter de janvier à août, sous écrous tout s'écroule
La seule prison dont on n's'échappe pas est cérébrale
Il nous reste l'imagination pour devenir télépathe
J'transforme ma chambre en avion long courrier
J'suis fatigué mais j'ai la chance de partir en tournée
Les oiseaux brûlent dans les plaines de goudron
Les frères fument des joints de pure à en perdre leurs poumons
On franchit les dunes du Pyla, nous soufflons
Car sur le sable froid des r'grets, un jour nous mourrons
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant que l'monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Son meilleur ami c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s'étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis où je vide ma haine
J'essaye d'croire en la vie mais j'y arrive à peine
Son meilleur ami c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s'étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis où je vide ma haine
J'essaye d'croire en la vie mais j'y arrive à peine
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant que l'monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
On m'avait dit qu'il fallait marcher au pas
J'ai décidé de suivre mon chemin de croix
De toute façon, on voit très peu d'étoiles sur nos faubourgs
Les yeux fermés, on s'habitue au temps qui court
Je cherche à combler l'vide ou à évacuer le trop plein
J'fais que culpabiliser en regardant c'temps de chien
J'rêve d'être sourd pour n'plus entendre aboyer mes frangins
Chaque jour la même rengaine
J'en veut à la terre entière
J'ai ce manque d'oxygène qui me fait angoisser
On d'vient des solitaires drogués aux somnifères
J'reste un sortilège, un esprit indompté
Avant d'essayer d'combattre les autres, bats toi
Contre toi et toi seulement, bats toi
Contre vents et marées c'est plus possible
Personne peut nous empêcher de sortir de nos chrysalides
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant que l'monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Faut être plus fort que les murs qui s'construisent autour de nous
Près des fous, perverti par l'idée de faire des sous
J'les vois douter de janvier à août, sous écrous tout s'écroule
La seule prison dont on n's'échappe pas est cérébrale
Il nous reste l'imagination pour devenir télépathe
J'transforme ma chambre en avion long courrier
J'suis fatigué mais j'ai la chance de partir en tournée
Les oiseaux brûlent dans les plaines de goudron
Les frères fument des joints de pure à en perdre leurs poumons
On franchit les dunes du Pyla, nous soufflons
Car sur le sable froid des r'grets, un jour nous mourrons
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant que l'monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
Son meilleur ami c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s'étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis où je vide ma haine
J'essaye d'croire en la vie mais j'y arrive à peine
Son meilleur ami c'est d'abord soi-même
Mes rêves traversent les nuits, s'étendent sur mes plaines
Près des montagnes de soucis où je vide ma haine
J'essaye d'croire en la vie mais j'y arrive à peine
J'compte bouffer l'monde avant qu'le monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
J'compte bouffer l'monde avant que l'monde me bouffe
Partir loin, seul au milieu d'la ronde j'étouffe
Traverser les mers, avancer coûte que coûte
Coûte que coûte, dévorer la terre
On m'avait dit qu'il fallait marcher au pas
J'ai décidé de suivre mon chemin de croix
De toute façon, on voit très peu d'étoiles sur nos faubourgs
Les yeux fermés, on s'habitue au temps qui court
Writer(s): GEORGES EDOUARD NICOLO, JEAN KARL LUCAS, Remi TOBBAL, EMILIE SATTONNET, GUILLAUME SILVESTRI, Guillaume SILVESTRI, Emilie SATTONNET, Georges EDOUARD NICOLO, JEAN KARL LUCAS, REMI TOBBAL Lyrics powered by www.musixmatch.com