J't'ai serrée si fort... Songtext
von François Hadji-Lazaro
J't'ai serrée si fort... Songtext
François Hadji-Lazaro
J′t'ai serrée si fort
2006 "Aigre-doux"
Cette ambulance était bien coquette, c′est gentil
Mais la camisole me serre les côtelettes, ce sera dit
Toi, je t'revois gémir, était-ce de plaisir?
{Refrain:}
Oh je t'adore, j′t′ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
C'était pas la première fois que l′on m'enferme chez les fous
Mais j′n'aurai plus jamais la moindre perm, mais j′m'en fous
Je t'ai tant aimée, j′ai voulu te bercer
{Au Refrain}
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon p′tit cerveau, les monstres accourent
J'espère qu′à la cuisine de l'hôpital, c′est le même cuistot
J'ai regretté en partant en cavale, son osso-bucco
J′ai eu d'autres aimées, j'les ai moins enlacées
Toi je t′adore, j′t'ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
Elle m′appelait son petit niais,
Elle me caressait du col au mollet
Ma tête, alors, se calmait
Ma mère, elle me disait Tu es ma honte, je la plains
Elle n'avait qu′à pas rater sa ponte, j'suis son poussin
Et toi, ma dernière étreinte, elle t′a éteinte
{Au Refrain}
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon petit cerveau, les monstres accourent
{Au Refrain}{x2}
J′t'ai serrée si fort
2006 "Aigre-doux"
Cette ambulance était bien coquette, c′est gentil
Mais la camisole me serre les côtelettes, ce sera dit
Toi, je t'revois gémir, était-ce de plaisir?
{Refrain:}
Oh je t'adore, j′t′ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
C'était pas la première fois que l′on m'enferme chez les fous
Mais j′n'aurai plus jamais la moindre perm, mais j′m'en fous
Je t'ai tant aimée, j′ai voulu te bercer
{Au Refrain}
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon p′tit cerveau, les monstres accourent
J'espère qu′à la cuisine de l'hôpital, c′est le même cuistot
J'ai regretté en partant en cavale, son osso-bucco
J′ai eu d'autres aimées, j'les ai moins enlacées
Toi je t′adore, j′t'ai serrée si fort
Que ton âme alors a quitté ton corps
Elle m′appelait son petit niais,
Elle me caressait du col au mollet
Ma tête, alors, se calmait
Ma mère, elle me disait Tu es ma honte, je la plains
Elle n'avait qu′à pas rater sa ponte, j'suis son poussin
Et toi, ma dernière étreinte, elle t′a éteinte
{Au Refrain}
Petit à petit, les jours devenaient courts
Les espoirs, aussi petits soient-ils, étaient tous pris de court
Je me revois, tout petit, à jouer dans la cour
Là, dans mon petit cerveau, les monstres accourent
{Au Refrain}{x2}
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