Nefas Songtext
von Eths
Nefas Songtext
Ardentes femmes phaliques agglutinêes
Nefas altise les corps sans peine, les têtes, pénétre
Asphyxiées À en pâlir
Nature obscure, luxure perdure
L′écume des sourds effuse, onguent collant
Offrande aux catins séminales
Blessure impure, luxure suture ¡Fuis!
L'ofire débordant de vices
L′oratrice moite de nefas embrasse
Ses esclaves, profonde, de sa gorge cilice
Laticlave lisse... les froides cuisses s'enlisent
Cassent
Les os putréfiés sous l'aiguille trouble dêcharnés
Désir psychique, douleur physique, nefas se fait désirer
Vortex noir, l′aube immorale, dépourvoit
Électrise les lÈvres rougies de fiÈvre
L′ofire débordant de vices
L'oratrice moite de nefas embrasse
Ses esclaves, profonde, de sa gorge cilice
Laticlave lisse... les froides cuisses s′enlisent
(Me cuisses supplient)
(L'ofire)
L′ofire
(Sois sans crainte, je renais aux sombres heures du soir)
(Sos sans crainte, je connais le son de ton âme
Tes hurlements arrachés de désir)
(Du fond de ces mines obscures)
(Des lagunes diluviennes s'épanchent)
(Violemment autour des corps)
Roi, ce miroir brisé
Renvoit l′image sale, ton reflet
La vertu, le péché mélés dans nos chairs
Du bois courbe, l'homme de bien, le pervers
Brille, vibre, le fébrile équilibre
Le bourreau docile s'automutile
Nefas altise les corps sans peine, les têtes, pénétre
Asphyxiées À en pâlir
Nature obscure, luxure perdure
L′écume des sourds effuse, onguent collant
Offrande aux catins séminales
Blessure impure, luxure suture ¡Fuis!
L'ofire débordant de vices
L′oratrice moite de nefas embrasse
Ses esclaves, profonde, de sa gorge cilice
Laticlave lisse... les froides cuisses s'enlisent
Cassent
Les os putréfiés sous l'aiguille trouble dêcharnés
Désir psychique, douleur physique, nefas se fait désirer
Vortex noir, l′aube immorale, dépourvoit
Électrise les lÈvres rougies de fiÈvre
L′ofire débordant de vices
L'oratrice moite de nefas embrasse
Ses esclaves, profonde, de sa gorge cilice
Laticlave lisse... les froides cuisses s′enlisent
(Me cuisses supplient)
(L'ofire)
L′ofire
(Sois sans crainte, je renais aux sombres heures du soir)
(Sos sans crainte, je connais le son de ton âme
Tes hurlements arrachés de désir)
(Du fond de ces mines obscures)
(Des lagunes diluviennes s'épanchent)
(Violemment autour des corps)
Roi, ce miroir brisé
Renvoit l′image sale, ton reflet
La vertu, le péché mélés dans nos chairs
Du bois courbe, l'homme de bien, le pervers
Brille, vibre, le fébrile équilibre
Le bourreau docile s'automutile
Writer(s): Bihl Stephane Lyrics powered by www.musixmatch.com