Kumari Kandam Songtext
von Eths
Kumari Kandam Songtext
Écrase. Corps d′or
Mon âge est centaure
Crâne
Explore le cinquième genre
Et je te plains, car pour toi, les étoiles sont toutes les mêmes
Son règne latent le dévore
Là, je veille, je baigne dans les 49 plaines
Il aurait dû attendre
Fou, l'éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s′enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l'ombre humide des pyramides
Des ères que j'attends qu′il doute
Qu′il se damne et rejoigne mes cités pâles et perdues
Les dix siècles d'histoire ne rattraperont rien
Une fois marié à l′écume
Les heures glorieuses ne le sauveront pas
Car ma bouche se dessine et s'emplit
Il se sentira si petit quand je resurgirai
Des nuits flottantes et poisseuses
Mes nuits sont flottantes...
Fou, l′éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s'enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l′ombre humide des pyramides
Fou, l'éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s'enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l′ombre humide des pyramides
Berce l′impur (Le Mort-Né)
Regarde l'azur et se sent si raisonné
C′est Jour de Purge
Et je suis si content que tu t'enlises
Dans l′éternité figée, le déluge
La glace qui efface tout
J'en connais si bien le goût...
(Mes nuits sont flottantes...)
(Mes nuits sont flottantes et poisseuses...)
Fou, l′éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s'enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l'ombre humide des pyramides
Fou, l′éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s′enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l'ombre humide des pyramides
Mon âge est centaure
Crâne
Explore le cinquième genre
Et je te plains, car pour toi, les étoiles sont toutes les mêmes
Son règne latent le dévore
Là, je veille, je baigne dans les 49 plaines
Il aurait dû attendre
Fou, l'éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s′enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l'ombre humide des pyramides
Des ères que j'attends qu′il doute
Qu′il se damne et rejoigne mes cités pâles et perdues
Les dix siècles d'histoire ne rattraperont rien
Une fois marié à l′écume
Les heures glorieuses ne le sauveront pas
Car ma bouche se dessine et s'emplit
Il se sentira si petit quand je resurgirai
Des nuits flottantes et poisseuses
Mes nuits sont flottantes...
Fou, l′éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s'enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l′ombre humide des pyramides
Fou, l'éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s'enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l′ombre humide des pyramides
Berce l′impur (Le Mort-Né)
Regarde l'azur et se sent si raisonné
C′est Jour de Purge
Et je suis si content que tu t'enlises
Dans l′éternité figée, le déluge
La glace qui efface tout
J'en connais si bien le goût...
(Mes nuits sont flottantes...)
(Mes nuits sont flottantes et poisseuses...)
Fou, l′éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s'enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l'ombre humide des pyramides
Fou, l′éphèbe arrogant fuit
Sans fin mais de fait s′enfonce
Sous les nombres, plus profond
A l'ombre humide des pyramides
Writer(s): Stephane Jean Pierre Bihl, Faustine Catherine Berardo Lyrics powered by www.musixmatch.com