La Valse misère Songtext
von Debout sur le Zinc
La Valse misère Songtext
Bien sûr on est emporté par la vie
Comme un fétu de paille dans l′infini
Et puis l'on est tenté de tout laisser tomber
Et de ne plus lever les yeux de sur ses pieds
Et puis si par hasard on a la chance
De trouver, de tenir l′amour immense
Alors on a tendance à oublier, l'ami
L'autre qui dort tout seul, dans le froid et l′oubli
Je voudrais faire vœu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares
On est toujours trop en retard
J′aimerais bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l′Univers
Jusqu'aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Alors reprend le train-train quotidien
Celui qui vous enveloppe si bien
Celui qui peint vos rêves, celui qui fait la trêve
Avec la conscience d′Ève et du serpent
La banque, la maison, la femme, les enfants
Bientôt effaceront tous les relents
Relents d'élan de cœur confondant dans un même
Caramel écœurant, le diable et le bonheur
Je voudrais faire vœu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares
On est toujours trop en retard
J′aimerais bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'Univers
Jusqu′aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Évidement on n′y changerait rien
En chantant ou en frappant des deux poings
Sur la table de sa salle à manger rococo
On risquerait de renverser les verres et l'eau
Pourtant si l′on y réfléchissait bien
Le bonheur que l'on retient des deux mains
Pourrait-il vraiment fuir en tendant comme une fleur
Une main au bout d′un bras, vers sa main, vers son bras?
Je voudrais faire vœu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares
On est toujours trop en retard
J'aimerais bien faire valser la misère
Jusqu′au bout de l'Univers
Jusqu'aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Comme un fétu de paille dans l′infini
Et puis l'on est tenté de tout laisser tomber
Et de ne plus lever les yeux de sur ses pieds
Et puis si par hasard on a la chance
De trouver, de tenir l′amour immense
Alors on a tendance à oublier, l'ami
L'autre qui dort tout seul, dans le froid et l′oubli
Je voudrais faire vœu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares
On est toujours trop en retard
J′aimerais bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l′Univers
Jusqu'aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Alors reprend le train-train quotidien
Celui qui vous enveloppe si bien
Celui qui peint vos rêves, celui qui fait la trêve
Avec la conscience d′Ève et du serpent
La banque, la maison, la femme, les enfants
Bientôt effaceront tous les relents
Relents d'élan de cœur confondant dans un même
Caramel écœurant, le diable et le bonheur
Je voudrais faire vœu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares
On est toujours trop en retard
J′aimerais bien faire valser la misère
Jusqu'au bout de l'Univers
Jusqu′aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Évidement on n′y changerait rien
En chantant ou en frappant des deux poings
Sur la table de sa salle à manger rococo
On risquerait de renverser les verres et l'eau
Pourtant si l′on y réfléchissait bien
Le bonheur que l'on retient des deux mains
Pourrait-il vraiment fuir en tendant comme une fleur
Une main au bout d′un bras, vers sa main, vers son bras?
Je voudrais faire vœu de ne jamais
Détourner le regard mais
Je sais bien que dans les gares
On est toujours trop en retard
J'aimerais bien faire valser la misère
Jusqu′au bout de l'Univers
Jusqu'aux confins du ciel
Mais je redescends trop tôt sur terre
Writer(s): Cédric Ermolieff, Christophe Bastien, Fred Triska, Olivier Sulpice, Romain Sassigneux, Simon Mimoun, William Lovti Lyrics powered by www.musixmatch.com