Les Bavards Songtext
von Clarika
Les Bavards Songtext
Les Bavards pépillent, chapelet d′oisillons
Sur un arbre blottis au matin qui sent bon
Et ce délit gazouille, murmurent leurs états d'âme
Font vibrer leurs bafouilles, fanfaronnes ou s′exclament
Les Bavards tricotent à l'endroit, à l'envers
Des pelotes de mots qu′ils dénouent pour en faire
Des histoires en cohorte, à tort et à travers
Des roses ou bien des noires, des graves ou des légères
Pia pia pia pia pia pia pia pia...
Pia pia pia pia pia pia pia...
Si le silence est d′or
Alors ils n'ont plus rien
Qu′un manteau de paroles
Sur leur peau de chagrin...
Dans l'ascenseur coincés comme Les Bavards jubilent
Jamais à court d′idées ou de propos futiles
Pour dire le temps qu'il fait ou la fraîcheur du soir
Devant l′autre qui se tait mais n'a plus peur du noir
Les Bavards mutins, babillent pendant l'amour
Sous des draps de satin en causant sans détour
Et du flot continu, quelle douce litanie
Dont parfois des mots crus s′évadent au creux du lit
Han han han han han han
Han han han han han
Si les mains des bavards pouvaient dire à leur place
On entendrait enfin pour sûr les anges qui passent
(Pont)
Les Bavards bien souvent ratent les buts au foot
Oublient même leurs enfants sur les airs d′autoroutes
Laissent passer le bus ou la fin du feuilleton
On les retrouve parfois pendus au fil de la conversation
Les Bavards s'endorment en récitant tout haut
Des poèmes chloroformes ou des moutons patauds
Emjambent un peu hagard, des montagnes de mots
Et des phrases et des lettres et des phrases et des lettres...
Bla bla bla bla bla bla bla bla
Bla bla bla bla bla bla bla...
Si les mots soulent parfois
Alors comme ils sont ivres
Du flot où ils se noient
Et que la mort délivre...
Bla bla bla bla bla bla bla bla
Bla bla bla bla bla
Sur un arbre blottis au matin qui sent bon
Et ce délit gazouille, murmurent leurs états d'âme
Font vibrer leurs bafouilles, fanfaronnes ou s′exclament
Les Bavards tricotent à l'endroit, à l'envers
Des pelotes de mots qu′ils dénouent pour en faire
Des histoires en cohorte, à tort et à travers
Des roses ou bien des noires, des graves ou des légères
Pia pia pia pia pia pia pia pia...
Pia pia pia pia pia pia pia...
Si le silence est d′or
Alors ils n'ont plus rien
Qu′un manteau de paroles
Sur leur peau de chagrin...
Dans l'ascenseur coincés comme Les Bavards jubilent
Jamais à court d′idées ou de propos futiles
Pour dire le temps qu'il fait ou la fraîcheur du soir
Devant l′autre qui se tait mais n'a plus peur du noir
Les Bavards mutins, babillent pendant l'amour
Sous des draps de satin en causant sans détour
Et du flot continu, quelle douce litanie
Dont parfois des mots crus s′évadent au creux du lit
Han han han han han han
Han han han han han
Si les mains des bavards pouvaient dire à leur place
On entendrait enfin pour sûr les anges qui passent
(Pont)
Les Bavards bien souvent ratent les buts au foot
Oublient même leurs enfants sur les airs d′autoroutes
Laissent passer le bus ou la fin du feuilleton
On les retrouve parfois pendus au fil de la conversation
Les Bavards s'endorment en récitant tout haut
Des poèmes chloroformes ou des moutons patauds
Emjambent un peu hagard, des montagnes de mots
Et des phrases et des lettres et des phrases et des lettres...
Bla bla bla bla bla bla bla bla
Bla bla bla bla bla bla bla...
Si les mots soulent parfois
Alors comme ils sont ivres
Du flot où ils se noient
Et que la mort délivre...
Bla bla bla bla bla bla bla bla
Bla bla bla bla bla
Writer(s): Jean-jacques Nyssen, Claire Keszei, Florent Marchet Lyrics powered by www.musixmatch.com