Gusher Songtext
von Choker
Gusher Songtext
J′ai attrapé des papillons grands
Comme des gratte-ciels
Je suis même tombé sur des dieux fossilisés
À l'intérieur de cercueils d′ambre
De la taille du roi Ghidorah
Cependant, mon regard est fermement tenu par la tension
Il semble sans âge, répétant
Il change de forme pour me tenir hors d'équilibre
De la même façon, cette merde est si familière
Mais la nuance est crue De la même façon
Je te regarde depuis des années
Mais tes follicules pileux
Jouent avec des teintures assorties
Ça te va bien aujourd'hui
Demain c′est pas garantie, pas de confort
De la même manière
Comme tes affaires sont ce qu′il sont
Jusqu'à ce que quelqu′un décide autrement
Comment trouver le repos
Avec mes mains pleines et mes yeux vides
Je pensais que si je ne m'attendais à rien
Tout m′aurait satisfait
Et pourtant, quand l'esprit devient vide
Les récompenses suivent
On fait avec nos mots ce qu′on peut
On arrive à des conclusions tracées avec des lignes rigides
Les portraits se déchirent aussi vite qu'ils montent
Leurs copies de remplacement des itérations passées
Pendant que tu fais de ton mieux
Moi je lève les yeux
Et vois la fin avec une clarté croissante
Je respire profondément
J'expire faiblement vers une présence moisie
C′est tellement épuisant d′être comme ça tout le temps
Comme des gratte-ciels
Je suis même tombé sur des dieux fossilisés
À l'intérieur de cercueils d′ambre
De la taille du roi Ghidorah
Cependant, mon regard est fermement tenu par la tension
Il semble sans âge, répétant
Il change de forme pour me tenir hors d'équilibre
De la même façon, cette merde est si familière
Mais la nuance est crue De la même façon
Je te regarde depuis des années
Mais tes follicules pileux
Jouent avec des teintures assorties
Ça te va bien aujourd'hui
Demain c′est pas garantie, pas de confort
De la même manière
Comme tes affaires sont ce qu′il sont
Jusqu'à ce que quelqu′un décide autrement
Comment trouver le repos
Avec mes mains pleines et mes yeux vides
Je pensais que si je ne m'attendais à rien
Tout m′aurait satisfait
Et pourtant, quand l'esprit devient vide
Les récompenses suivent
On fait avec nos mots ce qu′on peut
On arrive à des conclusions tracées avec des lignes rigides
Les portraits se déchirent aussi vite qu'ils montent
Leurs copies de remplacement des itérations passées
Pendant que tu fais de ton mieux
Moi je lève les yeux
Et vois la fin avec une clarté croissante
Je respire profondément
J'expire faiblement vers une présence moisie
C′est tellement épuisant d′être comme ça tout le temps
Writer(s): Jeff Kleinman, Christopher Lloyd Lyrics powered by www.musixmatch.com