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D’en haut, la ville est belle en bas Songtext
von Cabadzi

D’en haut, la ville est belle en bas Songtext

J′habite aujourd'hui sur les toit
Et d′en haut la ville est belle en bas
Je navigue des silences, des fatigués
Des offenses, des intrigues
Mais au moins ça ne parle plus autours de moi et je n'ai plus rien à dire qui va de soit
Je n'ai plus à chercher des solutions
Je n′ai plus à prendre part aux conversations
Je ne tais je ne chercher plus et ça me plaît
Avant je rivalisais, j′écrasais, j'enfoçais
Je voulais de l′efficace, du vrais, des nombres, des pièces des monnaies
Je voulais de l'amour alors que j′étais
Jaloux chaque jour
Je voulais des projets alors que j'étais irresponsable souhait
Je vivais en voyou timide des interstice des greffant là où je pouvais profiter tranquille et sans "norris"
Je glorifais les cons par habitude
Et menant ainsi les saints d′esprit à décrépitude
J'étais sur de moi certains de mes doigts caricature de l'hypocondriaque suicidaire
Capable rouler à deux-cents sur les périf bras en l′air
Et de pas dormir la nuit qui suit d′apres croyant que j'avais le cancer
Avant je me permittais d′enseigner le respect sans préciser si tu n'écrases ni rien ni personne tu n′arrivais à rien je sentais bien que sans argent les droits de l'homme disparaissaient, mais fallait-il s′avouer?


Je voulais encore croire aux miracles
Je voulais pas y penser mais je
Voulais ma vérité se faire de jours en jours
Se faire plus précisé ça me perdait ça me désolait
Tout ces mensonges qui commencés à hurler tout ces amours que je "consumer" à répéter en y voient qu'un fin "tragitive"
On commence par s'offrir un bouquet de fleurs on fin par un placemarker
J′étais devenu insensible, le normal, le bien, le logique ne me suffisaient plus
J′allais toujours plus loin mais je ne trouvais rien les meilleurs moments
était toujours après
Et je ne mettais jamais le pansement là où ça saignant tout les temps
J'étais lourd de routine ça
M′obsedait l'ordinaire m′emmerdait alors tout ce que trouvais un peu près à mon goût je le consumais sans réfléchir, sans t'attendre, sans sentir, sans cesse vivant se donner du plaisir tout les temps
J′avais la perpétuelle sensation
De manquer alors j'etalais ma vacuité
Je m'exposer sur les réseaux en permanence
J′avais mon musé du soi-même de la suffisance je donnais des réponses sans que personne n′ai posée des questions les faibles suivaient s'était déjà ça
Mais des que je "loniais" sur mes voisins
Je voyais que beaucoup fessait mieux que moi
Et je me disais qu′il ne fallait jamais prendre les gens pour les moutons
Mais jamais oublier qu'ils le sont et je ne voulais plus y penser fallait toujours chercher à être aimer, porter tel un apôtre toujours être plus beaux dans le regard de l′autre
Tout faire pour "se crissait" de plus en plus souvent tu montes tu montes tu montes et tu descends
Et tu cherches à enfouir tes dépressions sous un flot d'actions remarquables
Tu joues au type dont les rires ne sont plus valables du genre de ceux qui résonne toujours trop fort et trop souvent du genre du ce qui cachent les pires remords les pires mal-être
Inavouable
Tu as beaux te dire t′es pas bête, t'es un gagnant, t'as de l′appétit
Mais un jour tu le sens, tu le sais que tu as raté ta vie et la tu fuite
Tu fuis tout en sachant pertinemment qu′en partant à l'autre bout de soi-même tu ne changeras que le décor de tes problèmes
Tu ne retrouveras jamais la pureté de fétus
La fuites c′est juste de la peine en plus c'est comme ça que tu te retrouves paralysér par la peur de la prochaine erreur c′est comme ça que "dans ça vi qu'on choisir" surtout ses problèmes des débauches
Et l′amour comme si on allait à un entretient d'embauche et c'est pour ça aussi que j′ai fini à aller chez le psy comme on va chez le curé
Comme un besoin de gps a ma vie de pipo s′inventer des curés par peur de finir comme des asticots
La valeur d'un homme se mesure par la quantité de vérités qui peut supporter
Je ne voulais plus y penser
C′est comme ça que j'ai quitté mon faux travail, mes faux, mes amis, ma fausse femme, mes faux enfants
Pour passer mes nuits dort
D′abord dans ma voiture et ensuite
Des cartons j'habitais l′avenue
Je montais et descendant en attendent qu'un miracle me tombe dessus
J'ai ensuit essayais le forêt mais j′avais peur trop seul sombre trop frai
J′habite aujourd'hui loin des bois mais chaque matin, chaque midi, chaque soir, chaque nuit j′aime ma nouvelle survit
Je navigue des silences, des fatigués, des offenses, des intrigues,
Mais malgré tout je danse sur les toit,
Et vous jure que d'en haut
D′en haut la ville est belle en bas

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