Promesses d’un visage Songtext
von Bernard Lavilliers
Promesses d’un visage Songtext
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
J′aime, ô pâle beauté, tes sourcils surbaissés
D'où semblent couler les ténèbres
Tes yeux, quoique très noirs
Inspirent des pensées
Qui ne sont pas du tout funèbres
Tes yeux, qui sont d′accord avec tes noirs cheveux
Avec ta crinière élastique
Tes yeux, languissamment me disent "si tu veux"
Amant de la muse plastique
Suivre l'espoir qu'en toi nous avons excité
Et tous les goûts que tu professes
Tu pourras constater notre véracité
Du nombril jusqu′aux fesses
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Tu trouveras au bout de deux seins bien lourds
Deux larges médailles de bronze
Sous un ventre uni, doux comme du velours
Bistré comme la peau d′un bonze
Une épaisse toison qui, vraiment, est la sœur
De cette énorme chevelure
Souple et frisée, et qui t'égale en épaisseur
Nuit sans étoiles, nuit obscure
Nuit sans étoiles, nuit obscure, obscure
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
J′aime, ô pâle beauté, tes sourcils surbaissés
D'où semblent couler les ténèbres
Tes yeux, quoique très noirs
Inspirent des pensées
Qui ne sont pas du tout funèbres
Tes yeux, qui sont d′accord avec tes noirs cheveux
Avec ta crinière élastique
Tes yeux, languissamment me disent "si tu veux"
Amant de la muse plastique
Suivre l'espoir qu'en toi nous avons excité
Et tous les goûts que tu professes
Tu pourras constater notre véracité
Du nombril jusqu′aux fesses
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Tu trouveras au bout de deux seins bien lourds
Deux larges médailles de bronze
Sous un ventre uni, doux comme du velours
Bistré comme la peau d′un bonze
Une épaisse toison qui, vraiment, est la sœur
De cette énorme chevelure
Souple et frisée, et qui t'égale en épaisseur
Nuit sans étoiles, nuit obscure
Nuit sans étoiles, nuit obscure, obscure
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Una morena beleza
Writer(s): Bernard Lavilliers Lyrics powered by www.musixmatch.com