La nuit des amants Songtext
von Barbara Carlotti
La nuit des amants Songtext
Nous étions étrangers et nous marchions ensemble
Par la tour de Babel, il fallait tout changer
En ce temps-là le rêve encore nous enveloppait
Nous dormions enlacés sur des lys brisés
Nous n′avions pas encore réussi à parler
Mais tu pleurais parfois
Et tes larmes formaient un fleuve clair
Qui lavait mes soupçons
Et faisait éclore en mon âme de fines fleurs
Nous étions étrangers, mais ainsi nous voguions
La lune mélancolique venait nous éclairer
Nous avancions sûrement, mais un peu à tâtons
Nos corps avaient déjà engagé la conversation
Nous savions déjà tout sans avoir espéré
Et l'ennemi accusait sans crier nos remous
Et ça durait des heures
Et les heures s′étendaient plus courtes et plus longues
Le fleuve devenu fou semblait nous inspirer
Il faisait éclore en mon âme de fines fleurs
Nous étions étrangers dans le temps arrêté
Quand la lumière de l'aube a surpris ces transports
Tu fixais ton regard dans mes yeux transparents
L'horizon encore sombre annonçait le décor
Des paysages paisibles et des cieux plus cléments
Nous ne savions rien de nous
Mais nos bras enlaçaient doucement cet âge d′or
Par la tour de Babel, il fallait tout changer
En ce temps-là le rêve encore nous enveloppait
Nous dormions enlacés sur des lys brisés
Nous n′avions pas encore réussi à parler
Mais tu pleurais parfois
Et tes larmes formaient un fleuve clair
Qui lavait mes soupçons
Et faisait éclore en mon âme de fines fleurs
Nous étions étrangers, mais ainsi nous voguions
La lune mélancolique venait nous éclairer
Nous avancions sûrement, mais un peu à tâtons
Nos corps avaient déjà engagé la conversation
Nous savions déjà tout sans avoir espéré
Et l'ennemi accusait sans crier nos remous
Et ça durait des heures
Et les heures s′étendaient plus courtes et plus longues
Le fleuve devenu fou semblait nous inspirer
Il faisait éclore en mon âme de fines fleurs
Nous étions étrangers dans le temps arrêté
Quand la lumière de l'aube a surpris ces transports
Tu fixais ton regard dans mes yeux transparents
L'horizon encore sombre annonçait le décor
Des paysages paisibles et des cieux plus cléments
Nous ne savions rien de nous
Mais nos bras enlaçaient doucement cet âge d′or
Writer(s): Barbara Carlotti, Jean Pierre Petit Lyrics powered by www.musixmatch.com